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11 juin 2012 1 11 /06 /juin /2012 21:17

1 NOUVELLE FLEUR

 

Par la quête de : " Qui suis-je ? ", le mental devient silencieux. La pensée " Qui suis-je ? " détruit toute autre pensée, et, de la même façon que le bâton utilisé pour remuer le bûcher funéraire, elle finira par être elle-même détruite. Puis la réalisation du Soi surviendra.

Lorsque d'autres pensées émergent, il ne faut pas les entretenir mais rechercher plutôt : " A qui cette pensée apparaît-elle ? " Peu importe combien de pensées se présentent. Pour chaque pensée qui émerge, il faut se poser la question avec assiduité : " A qui cette pensée est-elle apparue ? " La réponse sera alors " à moi ".

 

Sur ce, si l'on se demande :

 " Qui suis-je ? ", le mental retourne à sa source, et la pensée qui avait surgit devient silencieuse. Ainsi, grâce à une pratique régulière, le mental acquerra la capacité de rester dans sa source. Lorsque le mental, sous sa forme subtile, passe par le cerveau et les organes sensoriels, les noms et les formes grossières apparaissent. Lorsqu'ils demeurent dans le Cœur, les noms et les formes disparaissent. Ne pas permettre à l'activité mentale de s'extérioriser et la maintenir dans le Cœur est ce qu'on appelle : " intériorité " (antar-mukha).

 

 Laisser le mental quitter le Cœur est appelé : " extériorisation " (bahir-mukha). Ainsi, lorsque le mental demeure dans le Cœur, le " je " qui est la source de toute pensée s'évanouira, et le Soi, à jamais présent, brillera. Quoi que l'on fasse, il faut agir sans l'ego " je ". Lorsqu'on se conduit de la sorte, la nature de tout ce qui apparaît alors, est celle de Siva (Dieu).

 

Ramana Maharshi

 

http://sunyata-eveilsauvagecom.blogspot.fr

 

 

 

 

 

 

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10 juin 2012 7 10 /06 /juin /2012 21:33

0 A PROPOS DE LA CROISSANCE

 

 

En cette période de crise, on parle beaucoup de la nécessité de relancer la croissance et, par là même, de relancer l’économie. Comment ? En incitant les gens à consommer davantage, de façon à devoir produire davantage et à induire du travail, condition nécessaire pour maintenir les emplois existants et en créer de nouveaux. En vertu de ce principe, pour ne pas dire de ce dogme, la plupart des politiciens, tous partis confondus, font de la relance de l’économie une priorité. Bien que n’étant pas spécialiste en économie, je ne suis pas convaincu que sa relance dépende de la croissance, au sens de consommer davantage et de doper la production ou, ce qui revient au même, de produire davantage et de booster la consommation.

 

Est-il normal qu’une société permette aux citoyens de consommer ce qui est nécessaire à leur bien-être matériel ? Bien sûr que oui. C’est même un devoir qu’elle a envers eux. Est-il pour autant judicieux de les inciter à consommer au-delà de leurs besoins réels ? Je pense que non. Or, tout est fait de nos jours pour les inciter à consommer « coûte que coûte » et à se procurer nombre de choses aussi inutiles qu’artificielles. Rien n’est négligé dans ce but : crédits attractifs, promotions en tous genres, publicités quasi-mensongères, etc. Ce faisant, on conditionne les gens à rechercher le bonheur dans l’avoir et, pour nombre d’entre eux, à s’endetter au-delà du raisonnable. Par ailleurs, on en fait des consommateurs perpétuellement insatisfaits, car il n’y a pas de limite au désir de posséder.

 

En caricaturant quelque peu, on peut dire que dans la plupart des pays, les consommateurs se divisent en deux grandes catégories : ceux qui ont les moyens de consommer et ceux qui, malheureusement, ne les ont pas. Plutôt que d’inciter les premiers à consommer toujours plus et à faire de l’avoir l’idéal de leur vie, on devrait leur apprendre à consommer raisonnablement et à donner dans ce domaine l’exemple de la modération. Pour ce qui concerne les seconds, il faudrait naturellement faire en sorte qu’ils puissent se procurer ce qui leur est nécessaire pour vivre confortablement sur le plan matériel. C’est là, me semble-t-il, le véritable enjeu de l’économie.

 

Je pense également que l’on devrait revoir totalement le concept de production. De nos jours, on produit pour produire, afin de maintenir les emplois. Dans nombre de domaines, il y a même surproduction, en ce sens que l’on sait parfaitement que tous les articles produits (à la chaîne) ne seront jamais achetés et constituent des stocks qui ne cessent de croître. C’est le cas, par exemple, dans l’électroménager, l’ameublement, l’habillement, etc., sans parler de l’alimentation, où l’on s’autorise un gaspillage véritablement indécent (chaque année, des millions de tonnes de viande périmées sont incinérées). Si cette politique de surproduction devait se généraliser à l’échelle du monde, il faudrait l’équivalent de plusieurs planètes comparables à la Terre pour obtenir ne serait-ce que les matières premières nécessaires. Assurément, on ne peut continuer dans cette voie.

 

De mon point de vue, il devient urgent de moins produire, mais de mieux produire, c’est-à-dire de remettre l’homme au centre de la production et de faire en sorte que celle-ci respecte la nature. Cela suppose de mettre fin au machinisme excessif qui sévit dans les pays dits développés et qui s’instaure dans les pays en voie de développement. Alors que les machines auraient dû se limiter à aider l’homme dans les travaux les plus pénibles, elles en sont venues à le remplacer à des fins de rentabilité et de profit. La sagesse voudrait que l’on ″démachinise″ la production et qu’on la ré humanise, ce qui entraînerait la création de nombreux emplois, sans parler de tous ceux qui pourraient être créés en relation avec l’écologie. Beaucoup diront qu’il est devenu impossible de revenir en arrière. Je n’en suis pas certain ; et aurons-nous encore longtemps le choix ?

http://www.amorc.fr/dotclear/index.php?

 

 

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9 juin 2012 6 09 /06 /juin /2012 21:23

 

0 COEUR

 

Un jour, un paysan se présenta à la porte d'un couvent et frappa énergiquement. Quand le frère portier ouvrit la lourde porte de chêne, le paysan lui montra, souriant, une magnifique grappe de raisin.

« Cher frère portier, dit le paysan, sais-tu à qui je veux offrir cette grappe de raisin, la plus belle de ma vigne? »

— Sans doute au Père Abbé ou à quelque moine du couvent!

— Non, à toi!

— À moi? Le frère portier en devint tout rouge de joie.

— C'est vraiment à moi que tu veux la donner?

— Bien sûr, parce que tu m'as toujours reçu avec amitié et tu m'as aidé quand je te le demandais. Je voudrais que cette grappe de raisin t'apporte un peu de joie. »

Et la joie simple et franche qu'il voyait sur le visage du frère portier l'illuminait lui aussi tout autant. Le frère portier posa la grappe bien en vue et passa la matinée à l'admirer. C'était vraiment une grappe étonnante. Et puis, à un moment donné, lui vint une idée : « Pourquoi ne pas porter cette grappe au Père Abbé, pour lui donner un peu de joie à lui aussi? »

Il prit la grappe et l'apporta au Père Abbé. Celui-ci fut sincèrement heureux. Mais il se souvint qu'il y avait dans le couvent un vieux frère malade et il pensa : « Je vais lui apporter la grappe. Ça lui donnera un peu de réconfort. »

Ainsi la grappe émigra de nouveau. Mais elle ne resta pas longtemps dans la cellule du frère malade. Celui-ci, en effet, pensa que la grappe ferait aussi la joie du frère cuisinier, qui passait ses journées à suer derrière ses marmites, et il la lui fit parvenir.

Mais le frère cuisinier la remit au frère sacristain, afin qu'il ait, lui aussi, un peu de joie. Ce dernier la porta à un autre. Et ainsi de suite, jusqu'à ce que la grappe revint au frère portier, pour lui donner un peu de joie... Ainsi se referma le cercle. Un cercle de joie!

L'amour est l'unique trésor qui se multiplie quand on le divise; c'est l'unique cadeau qui augmente au fur et à mesure qu'on en soustrait une part.

Texte pris sur le blog Émergence du cœur

http://www.lapetitedouceur.org/200-articles-blog.html

 

 

 

 

 

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8 juin 2012 5 08 /06 /juin /2012 21:35

0 BONJOUR PRESENCE

 

Bonjour Présence Lumineuse

Je voudrais que tu m’aides à m’éveiller

Es tu consciente de ta demande ? 

 

Comment cela ?

Mais tu es éveillée ! 

 

Si j’étais éveillée je ne serai plus autant enchaînée par mes pensées !

Tes pensées ne sont pas toi, tu acceptes qu’elles t’enchaînent 

 

Et quel est mon intérêt de rester enchaînée alors?

Qu’est ce qui t’empêche de te libérer ? 

 

 

Mes habitudes peut-être, et puis je ne sais pas comment sortir de cet enchaînement, même si c’est moi qui semble l’avoir désiré

Qu’est ce que t’apporte ce besoin de t’enchaîner à tes pensées ?

 

J’existe !

Donc pour toi, tu ne peux exister sans tes pensées ?

 

Oui ou non, en tous les cas je ne sais pas m’en détacher

Déjà ce qui est bien c’est que tu es consciente qu’elle t’enchaîne, alors fais le chemin inverse pour qu’elles ne t’enchaînent plus 

 

Mais comment ?

C’est quoi pour toi être enchaînée ? 

 

C’est être esclave de ce qui m’enchaîne, ne pas être libre, légère…éveillée, quitter ces pensées lourdes et inutiles !

Pourtant tu te complais à les ‘agiter’ encore, laisse les passer tout simplement, ne t’accroche pas à elle, rend les plus légères, que chacune de ces pensées soit vue par toi comme un appel à te rapprocher de ce que tu Es : un être éveillé

 

Arrête je ne suis pas un être éveillé

Si, tu es déjà éveillée, alors accepte de regarder que tout ce qui t’enchaîne n’est pas toi

 

http://du-tout-et-du-rien.blogspot.fr/2012/03/bonjour-presence.htm

 

 

l

 

 

 

 

 

 

 

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7 juin 2012 4 07 /06 /juin /2012 21:23
0 NOUVEAU FOND REVE
 
 
Il existe différents types de désordre. Bien sûr, le plus visible est le désordre ménager, mais il y a aussi celui qui peut régner dans votre ordinateur : de vieux fichiers ou des documents qui ne vous servent jamais. Votre sac à main peut être encombré de vieilles factures, d’articles de maquillage défraîchis, de mouchoirs utilisés et ainsi de suite. Des plantes mortes et des déchets peuvent également joncher le sol de votre jardin ou de votre cour.
 
Par ailleurs, le désordre peut tout aussi bien être interne : votre horaire est surchargé et vous êtes dépassé par les événements, par exemple. Parler sans cesse et ne jamais écouter les autres est également un comportement issu d’un désordre intérieur.
 
Si vous ne prenez jamais la peine de vous ressourcer en silence pour entendre votre voix intérieure et passez le plus clair de votre temps à réfléchir, analyser, rationaliser ou à vous inquiéter, votre désordre interne est évident. Il est aujourd’hui temps de vous pencher sur ces autres types de désordre.
 
Source : Le coaching de l'âme - Denise Linn       
 
  
       « Le silence est le remède à tous les maux. »
                      Le Talmud  
 
  Vidéo: "Apprendre à déranger" de Nicole Charest

 
 
 
 
 
 
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6 juin 2012 3 06 /06 /juin /2012 21:10

ere verseau

 

 

Ce jour là, comme tous les vendredis,

Je fais mes courses au supermarché du quartier.

 

Et, comme souvent, je suis pressé, filant entre les rayons

à l'allure d'un bolide, faisant à peine attention à ce que j'achète.

 

En entrant, je croise un couple de personnes âgées.

Ils semblent un peu ridicules dans leurs costumes du dimanche,

se déplaçant avec lenteur, lui tirant un cabas sur roulette,

elle s'accrochant désespérément au veston de son mari.

 

Je les retrouve dans chaque rayon.

L'allure que leur impose le grand âge est irritante,

j'aimerais passer devant, mais leur caddy bouche toujours le passage.

 

À plusieurs reprises, je fonce avant qu'ils ne s'engagent,

de peur qu'ils ne me passent devant et ne me retardent davantage.

 

Dans l'urgence, je laisse mon caddy au milieu de l'allée

et je fonds sur les packs de bouteilles d'eau, j'en prends un, deux...

Je n'ai pas entendu venir le couple paisible qui derrière moi traîne les pieds sans bruit,

et je manque de renverser le grand-père qui stoppe net alors que je manœuvre

pour porter mes bouteilles dans le caddy.

 

Je suis confus mais, toujours très pressé, je lance un bref

« Ah... excusez-moi, je ne vous avais pas vu ».

 

Le grand-père lève la tête, me sourit et d'un ton à la fois

aristocratique et doux me dit  :

 

« Je vous en prie Monsieur, nous avons tout notre temps ».

 

« Nous avons tout notre temps »... la phrase résonne dans ma tête.

 

Je termine mes emplettes à 100 à l'heure,

mais arrivé dans la voiture, je reste songeur.

Je repense à ce qu'a dit le vieil homme :

il doit avoir 80 ans passés et il dit avoir le temps !

 

Quelle leçon pour tous ceux qui, comme moi,

agissent trop souvent comme si leur dernière heure était proche...

 

Depuis, je l'entends souvent me dire

« Nous avons tout notre temps ».

 

Je me donne le droit d'avoir tout mon temps,

car mon temps  est à moi et c'est moi qui décide ce que je fais de mon temps

et non le temps qui me guide ma conduite.

 

 

 

« C'est au moment où l'on n'en a pas le temps qu'on devrait se détendre. ».

     ...Sydney Harris

 

http://cartespostales.chezmaya.com/v2/component/zoo/item/le-vieil-homme-et-le-temps.html

 

 

 

 

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5 juin 2012 2 05 /06 /juin /2012 21:48

Je viens de terminer ce joli profil féminin  aux cheveux fleuris.

J'ai réalisé ce tableau en un brin un fil , pour les connaisseuses, c'est un travail délicat mais tellement beau !.

 

0 VISAGE ET CHEVEUX FLEURISCOUPE ET GOLORE 

 

 

Les heures claires.

Chaque heure, ou je pense à ta bonté, si simplement profonde,
je me confonds en prières vers toi.
Je suis venue si tard vers la douceur de ton regard et de si loin.
Vers tes deux mains tendues, tranquillement, par à travers les étendues.
J'avais en moi tant de rouille tenace qui me rongeait à dents rapaces.
J'étais si lourd, j'étais si las, j'étais si vieux de méfiance ;
J'étais si lourd j'étais si las du vain chemin de tous mes pas ;
Je méritais si peu la merveilleuse joie de voir ton sourire illuminer ma vie,
que j'en reste tremblante encore et presque en pleurs, humble ,à tout jamais en face du BONHEUR.

( Emile Verhaeren.)

 

 

 

 

 

 

 

 

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4 juin 2012 1 04 /06 /juin /2012 21:39

SUPER FOND DE ROSES

 

On dit souvent que le hasard n’existe pas. Pourtant, nous ne sommes pas responsables de tout ce qui nous arrive. Qu’en pensez-vous ? Effectivement, les mystiques en général ont l’habitude de dire que le hasard n’existe pas. Cela dit, cette expression “traditionnelle” mérite d’être explicitée. En fait, elle ne veut pas dire que l’homme est responsable de tout ce qui lui arrive dans son existence, que ce soit d’ailleurs en positif ou en négatif. Elle signifie plutôt que tout événement a une cause, étant entendu que cette cause n’a pas nécessairement son origine dans le comportement humain. À titre d’exemple, tous les hommes bénéficient des effets positifs que le soleil produit en éclairant et en réchauffant notre planète, mais ni la lumière ni la chaleur qui en émanent ne dépendent d’eux. L’une et l’autre prennent leur source dans le soleil et dans les processus thermonucléaires qui lui sont propres, et ce, indépendamment de notre volonté et de notre comportement.

 

Dans un domaine plus négatif, les tremblements de terre, avec les désastres qu’ils produisent sur tous les plans, ne sont pas non plus provoqués par les hommes. Ils sont dus aux effets parfois destructeurs de l’activité qui a lieu à l’intérieur même du globe terrestre. Nous voyons donc que nous pouvons être confrontés à des événements qui ne résultent pas de nos actes et qui ne sont pas dus pour autant au hasard.

 

Comme le suggèrent les remarques précédentes, rien n’est le fruit du hasard dans l’existence, en ce sens que tout a une cause. D’une manière générale, cette cause peut être humaine, naturelle ou divine. Sur le plan humain, tout individu récolte tôt ou tard ce qu’il a semé, en positif comme en négatif. Que nous en soyons conscients ou non, cette loi karmique, que l’on appelle aussi « loi de cause à effet » ou « loi de compensation », constitue le fondement de notre évolution spirituelle. Par ailleurs, nous vivons en société, de sorte que nous sommes affectés également par le comportement d’autrui, là encore en positif et en négatif. Autrement dit, il nous arrive chaque jour de vivre des situations plaisantes ou déplaisantes au contact des autres, sans pour autant que notre karma personnel ne soit impliqué. C’est ainsi que l’on peut passer un moment agréable en compagnie de gens intéressants en n’ayant rien fait de particulier pour le mériter. Inversement, on peut se faire agresser dans la rue et n’y être strictement pour rien sur le plan karmique. Dans la plupart des cas, ce genre d’épreuve résulte du fait que le monde compte hélas des individus peu évolués qui n’hésitent pas à s’en prendre à d’autres pour des raisons diverses : les frapper, les voler, les effrayer, etc. Ce n’est pas le hasard qui est alors en cause, mais le libre arbitre de ces individus, lesquels ont malgré nous le pouvoir de nous faire subir les effets négatifs de leur mauvais comportement.

 

L’homme fait partie intégrante de la nature. Il est donc soumis aux phénomènes naturels. Comme nous l’avons dit précédemment, certains d’entre eux, en fait la plupart, contribuent à notre bien-être (rayonnement solaire, succession des saisons, alternance des marées, écoulement des fleuves, renouvellement de la végétation, etc.) ; d’autres peuvent le mettre en péril (tremblements de terre, raz-de-marée, éruptions volcaniques, ouragans, etc.). Qu’ils nous soient favorables ou défavorables, ces phénomènes ne doivent rien au hasard. Certes, nombre d’entre eux échappent à notre compréhension et à notre contrôle, ce qui explique pourquoi nous avons parfois l’impression que la nature agit d’une façon aveugle. Cela dit, ils ont tous une cause naturelle et sont régis par des lois que les scientifiques étudient. Quant aux événements qui ont une cause ni humaine ni naturelle, mais divine, il est difficile d’en donner des exemples précis. D’une manière générale, ils entrent dans le cadre de ce qu’on appelle traditionnellement la « Providence divine » et concernent des situations qui sont voulues “divinement”. Tel est le cas, par exemple, de certaines rencontres. À défaut d’un terme mieux approprié, et dans un esprit quelque peu paradoxal, nous pouvons attribuer ces situations au “hasard”, mais au sens qu’Albert Einstein donna à ce terme, à savoir :

« Le chemin que Dieu emprunte lorsqu’Il veut rester anonyme ».

http://www.amorc.fr/dotclear/index.php

 

 

 

 

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2 juin 2012 6 02 /06 /juin /2012 21:14
0 MAINS DE MA MERE
 
Plus précieuses que l’or
Plus pures que le diamant
Toutes ciselées par le temps
Toutes ridées par l’effort
Mains de ma mère, je vous vénère.
 
Porteuses à mon enfance
Compagnes à mes jeux
Témoins de mes rêves printaniers
Mains fortes au levain
Amoureuses au devoir
Attachantes à la vie
Secourables au fardeau
Mains de ma mère, je vous honore.
 
Ces mains qui ont chevauché
À travers vents et marées
Toutes sillonnées de lumière
Ces mains oubliées au cœur entr’ouvert
Ces mains inclinées pour soutenir et partager
Ces mains fidèles à l’époux
Divines aux enfants
Ces mains comme un livre ouvert
Où l’homme fidèle a connu son chemin
Mains jointes comme une prière dans l’attente
Mains qui scelleront nos mains à jamais
Mains de ma mère, soyez bénies.
 
(Source : Revue Chantecler - mars-avril 1996)
 
 
 
 
 
Vidéo: "Hommage aux mamans" de Nicole Charest
 

 
 
 
 
 
 
 
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1 juin 2012 5 01 /06 /juin /2012 21:36

SENEGAL

 

 

     "Un voyageur très fatigué s'assit à l'ombre d'un arbre  

 Sans se douter qu'il venait de trouver un arbre magique,

 « l'Arbre à   réaliser des souhaits».

     

 

        Assis sur la terre dure, il pensa qu'il serait bien agréable de

     se retrouver dans un lit moelleux.

    Aussitôt, ce lit apparut à côté de lui.

 

 

     Étonné, l'homme s'y installa en disant que le comble du  

  Bonheur serait atteint si une jeune fille venait masser ses  

 Jambes percluses.

 La jeune fille apparut et le massa très agréablement.

 

     « J'ai faim, se dit l'homme, et manger en ce moment serait  

 à coup sûr un délice. »    

 Une table surgit, chargée de nourritures suculentes .   

     

 

     L'homme se régala. Il mangea et il but. La tête lui

  tournait un peu. Ses paupières, sous l'action du vin et de la

  fatigue, s'abaissaient. Il se laissa aller de tout son long sur

  le lit, en pensant encore aux merveilleux évènements de cette

  journée extraordinaire.

 

     « Je vais dormir une heure ou deux, se dit-il. Le pire serait

  qu'un tigre passe par ici pendant que je dors. »

 

     Un tigre surgit aussitôt et le dévora."

 

     Vous avez en vous un Arbre à souhait qui attend vos ordres.

 

     Mais attention, il peut aussi réaliser vos pensées

     négatives et vos peurs.

     En tout cas, il peut être parasité par  elles et se bloquer.

     C’est le mécanisme des soucis.

 

 

 

 

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  • : Je suis passionnée de philosophie, je partage avec vous ces textes et citations qui font partie de moi.
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Ce blog a été créé le 22-08-2010 par mon adorable petit-fils Maxime


 

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