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25 avril 2016 1 25 /04 /avril /2016 22:12

 

 

 

 

Diane Gagnon -

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

 

 

 

LA BEAUTÉ DU SILENCE

 

 

 

 

Quand les mots ne suffisent pas, ou ne suffisent plus, il nous reste toujours le silence, un havre de paix quand nous le choisissons, mais un enfer quand il nous est imposé.

 

Le silence n’est jamais vide, il est toujours plein de ce que nous choisissons d’y mettre. Autant il peut être léger comme une plume, autant il peut être lourd comme le roc. Le silence est rempli d’amour quand nous observons ceux qu’on aime. Souvent le silence parle plus que nos paroles.

 

Mais le silence peut aussi être porteur de haine, quand nous refusons de communiquer avec les autres, quand nous feignons l’indifférence ou que nous coupons les ponts.

 

Il peut aussi être signe d’en enfantillage lorsque nous boudons les autres pour leur faire sentir ce que nous ne voulons pas dire. Mais il peut aussi être un signe de maturité, quand se taire semble la meilleure chose à faire.

 

Le silence peut aussi être insupportable, quand nous sommes bâillonnés et que nous semblons avoir perdu le droit de nous exprimer ou quand c’est l’autre qui refuse de rompre un silence qui nous pèse lourd. Mais il peut aussi être immensément désiré pour mettre la paix dans notre cœur et notre esprit ou entre deux cœurs.

 

Si nous insufflons de l’Amour dans notre silence, alors nous ferons la paix avec lui.

 

Le silence, c’est comme la Vie : il est fait de ce que nous y mettons.

 

https://www.facebook.com/DianeGagnon.Auteur.Coach/?ref=nf

 

 

 

 

 

 

 

 

LA BEAUTÉ DU SILENCE
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21 avril 2016 4 21 /04 /avril /2016 22:52

 

 

 

 

Auteure : Nicole Bordeleau :

 

www.nicolebordeleau.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dire OUI au changement

 

 

 

 

 

 

 

Un jour, le ciel est bleu et le soleil est radieux. Le lendemain, un orage éclate et la pluie tombe à tout rompre. Un moment, tout va pour le mieux. Le moment suivant, on fait face à une séparation, à un conflit, à une maladie.

 

Dans cette précieuse vie humaine, rien n'est acquis et rien, ni personne ne sera épargné par les vagues du changement. Les saisons, les océans, les montagnes, bref tout ce qui existe est appelé à se transformer, à se réinventer.

 

Et dans la nature, rien ne résiste au cycle des transformations. Rien, sauf l'être humain. Car à moins qu'il ne provienne de sa volonté, l'être humain considère le changement comme un problème, un affront, un obstacle que la vie place sur sa route.

 

On peut ainsi s'agripper et résister de toutes nos forces pour repousser le changement dans nos corps et dans notre apparence, cela ne durera pas éternellement. On peut s'accrocher fermement à notre routine, à nos habitudes de vie, à des idées fixes, à de vieilles façons de faire, inévitablement un jour, on devra se résoudre à changer.

 

Ce refus de voir le changement comme étant un processus naturel de l'évolution coûte cher en énergie et en nuits d'insomnies, car la vie est une force puissante. Si on lui résiste, elle insiste. Si on persiste, elle nous déstabilise. Si on s'obstine et que l'on refuse de changer, elle nous y obligera, car refuser de changer, c'est comme refuser de vivre.

 

Aussi difficile soit-il de l'admettre, tout changement a sa raison d'être. Son but est de dégager ce qu'il y a en nous de force, de courage, de résilience pour poursuivre notre évolution. Sans cet apprentissage, il nous serait impossible de découvrir et de faire rejaillir les ressources insoupçonnées qui sommeillent encore en nous.

 

Bien que changer peut parfois sembler une douloureuse expérience à vivre, c'est souvent à partir de cette expérience que la sagesse émerge. La sagesse, c'est une prise de conscience. C'est la capacité de percevoir le sens profond d'une épreuve, d'une perte, d'une expérience douloureuse. La sagesse, c'est ce qui nous permet de faire face à toutes les vagues de l'existence avec sérénité.

 

Rien ne saurait freiner le changement, c'est l'élan même de la vie. De plus, sans changement, rien de meilleur ne pourrait survenir et nous serions constamment à vivre les mêmes expériences. Alors, peu importe sous quelle forme le changement arrive, dites oui.

 

Si aujourd'hui, vous êtes appelé à vivre un changement important, dites-vous que c'est parce que vous avez en vous la force d'y faire face. Au lieu de le repousser, penchez-vous vers lui, prenez une profonde respiration et tenez bon, car la vie vous prépare à accueillir de quelque chose de beau et de grand.

 

http://www.lapetitedouceur.org/2016/03/dire-oui-au-changement.html

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dire OUI au changement
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18 avril 2016 1 18 /04 /avril /2016 22:01

 

 

 

 

 

Texte de Diane Gagnon –

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

 

 

 

 

 

L’IMPORTANCE DES BLESSURES

 

 

 

 

 

La majorité d’entre nous avons connu bien des blessures, parfois dès notre naissance et jusqu’à maintenant.

 

Que nous le voulions ou non, ces blessures conditionnent nos comportements, nos réactions, nos peurs, notre capacité d’aimer et d’être aimé et notre ego, entre autres. Parfois, avec beaucoup de courage, nous osons les regarder franchement pour commencer le travail de guérison qui amènera une grande libération. Si nous ne pouvons guérir de toutes nos blessures, au moins nous pouvons les cicatriser, quitte à porter en balafre l’enseignement qu’elles nous auront apporté.

 

Nous n’avons pas à porter seuls toutes ces blessures. Le pouvoir de la parole et du partage, avec des personnes dignes de confiance, est un puissant outil de cicatrisation de nos blessures.

 

En commençant à en parler, déjà nous nous sentons moins seuls. Le fait de partager notre vécu et d’être soutenus dans la narration de nos épreuves est une grande source de réconfort, de soutien, de brisure de l’isolement. Nous réalisons que d’autres aussi ont connu des épreuves similaires aux nôtres. Si nous avons le privilège d’être accompagnés par une personne d’expérience, nous pourrons dès lors commencer la cicatrisation. Et nous pourrons aussi commencer à extraire l’essence et le sens de ce que chacune est venue faire dans notre vie.

 

Aucune blessure ne doit être inutile. Les refouler, les ignorer ou les enfouir est la pire chose que nous puissions faire dans notre quête du bonheur et de la sérénité. Les affronter ave courage et en y mettant tout notre cœur est sûrement l’une des plus belles preuves d’amour de soi qui soit! Ce n’est pas un hasard si le mot courage tire son origine étymologique du mot cœur!

 

Faire face à nos blessures avec cœur et courage est le meilleur outil de guérison qui soit. Le processus prend le temps nécessaire à chacun pour s’en défaire. Chacune d’entre elles a un cadeau immense à nous transmettre : développer plus d’amour, de compassion, d’empathie, donner un sens à notre souffrance, aider les autres en les comprenant mieux, faire une différence positive dans la vie des autres…

 

Soigner ses blessures, ce n’est pas « gratter le bobo »! C’est au contraire leur donner un sens et en faire un tremplin de croissance et d’Amour!

 

https://www.facebook.com/DianeGagnon.Auteur.Coach

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’IMPORTANCE DES BLESSURES
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15 avril 2016 5 15 /04 /avril /2016 00:49

 

 

Texte de Serge Toussaint

 

Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix

 

 

 

 

 

 

 

 

A propos du pardon

 

 

 

 

 

 

 

 

La notion de pardon est présente dans quasiment toutes les religions. Dans ce contexte, il consiste à ne pas entretenir de rancune, d’hostilité et encore moins de haine à l’encontre d’une personne qui nous a offensés, que cette offense soit d’ailleurs réelle ou supposée. Par extension, c’est renoncer à punir ou à sanctionner autrui pour une faute qu’il a commise. Cela étant, et contrairement à ce que l’on croit généralement, le pardon n’est pas une notion exclusivement religieuse. En effet, un athée peut tout autant pardonner qu’un croyant. Dans ce cas, il le fait au nom des valeurs “laïques” qui sont les siennes.

 

Est-il facile de pardonner ? Évidemment non. Lorsqu’on a le sentiment, à tort ou à raison, d’avoir été offensé, c’est-à-dire trompé, trahi, bafoué, manipulé, meurtri… par une autre personne, la réaction la plus courante consiste à lui en vouloir, parfois et même souvent au point d’éprouver le désir de se venger. Autrement dit, c’est la loi du Talion («œil pour œil…») qui vient alors à l’esprit et à laquelle cèdent la plupart des gens. À ce propos, rappelons le commentaire du Mahatma Gandhi :

«À ce compte là, le monde finira par devenir aveugle…».

 

Est-il bien de pardonner ? Je pense que oui, et ce, pour au moins trois raisons : en premier lieu, parce que c’est un acte d’humilité, en ce sens que c’est reconnaître que l’on est soi-même imparfait et que l’on a des choses à se faire pardonner. En second lieu, parce que cela libère de toute rancœur et contribue à la paix intérieure, ce qui est un facteur de bien-être. En troisième lieu, parce que c’est un acte d’amour qui grandit celui qui en fait preuve, et ce, d’autant plus que l’offense qu’il a subie est grande. Par ailleurs, dès lors que l’on admet l’existence de la loi karmique, rien n’est plus sage que de la laisser s’accomplir, sans désir de vengeance.

 

Naturellement, il y a des choses plus faciles à pardonner que d’autres. À titre d’exemple, il n’est pas très difficile d’accorder son pardon à un proche qui a été injuste à notre égard et qui s’en est excusé avec sincérité. En revanche, nous pouvons comprendre qu’une personne dont on a assassiné ou violenté un être cher refuse de pardonner au criminel et lui en veuille terriblement, notamment si celui-ci ne manifeste aucun regret. Cela étant, plus nous estimons avoir de bonnes raisons de ne pas pardonner, plus la notion même de pardon prend tout son sens et toute sa valeur.

 

Dans le langage courant, on dit souvent qu’il faut pardonner mais ne pas oublier. Cela me semble tout à fait vrai, car si l’on oublie les expériences qui ont donné lieu à ce que nous avons vécu en termes d’offense et de souffrance, on se condamne à les revivre tôt ou tard, tant sur un plan individuel que collectif. L’idéal est donc de garder ces expériences en mémoire, mais d’être capable de se les rappeler sans éprouver de regret, de remord ou de rancœur, et sans en vouloir à ceux qui nous les ont fait vivre. De toute évidence, c’est difficile…

 

http://www.blog-rose-croix.fr/a-propos-du-pardon/

 

 

 

 

 

 

 

 

A propos du pardon

« Je ne crains pas demain,

 

car j'ai vécu hier et j'adore aujourd'hui.

 

» Inconnu

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11 avril 2016 1 11 /04 /avril /2016 22:05

  

 

Texte de ,matinmagique

 

 

 

 

Comment régler des problèmes

 

 

 

Quand on ne se sent pas bien, on cherche généralement la bonne action à faire ou la bonne parole à dire pour changer les choses et retrouver notre paix d'esprit. C'est la façon habituelle de faire les choses, n'est-ce pas? Or, voici le problème : si on est habité d'une énergie malsaine, toutes les décisions qu'on prendra en seront imprégnées et auront tendance à la propager. Oh, on croit que le fait de changer la situation nous fera nous sentir mieux… mais c'est plutôt l'inverse : la première étape est de se sentir mieux, de se connecter à quelque chose de beau et de grand. Et à partir de cet espace, on sera inspiré à dire les bonnes choses et poser les bons gestes. L'énergie positive qui nous habite agira sur nous, et à travers nous.

 

Logique, n'est-ce pas ?

 

Ainsi, nous pourrions théoriser longtemps, mais voici ce que je vous propose de faire, pour tester le tout : quand vous vivez des épreuves, résistez à la tentation de réagir et de vous acharner pour changer les choses. Commencez par vous alléger – par élever votre énergie, si je peux dire. Faites une activité que vous aimez intensément. Ou bougez votre corps, oxygénez-vous. Ou rappelez-vous un moment où vous vous sentiez bien, et devenez la personne que vous étiez alors – connectez-vous à cet état d'amour et d'expansion. Puis, une fois que vous serez aussi vibrant que vous pouvez l'être, voyez ce que vous avez naturellement l'élan de faire ou de dire. Tout simplement.

 

Le monde extérieur ne viendra jamais, jamais, JAMAIS à notre rescousse.

 

Si on veut la paix, l’amour et l’harmonie, la première étape est de les semer en nous.

 

http://www.matinmagique.com.

 

 

 

 

 

Comment régler des problèmes

 

 

 

 

Nous pensons rarement à ce que nous avons,

 

mais toujours à ce qui nous manque.

 

Gandhi

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7 avril 2016 4 07 /04 /avril /2016 22:17

 

 

 

Texte de Diane Gagnon -

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

 

 

 

LES SYNCHRONICITÉS

 

 

 

 

La Vie saupoudre notre quotidien de petits moments magiques pour lesquels on a trouvé le merveilleux nom de synchronicité. Tous ces petits « hasards », ces coïncidences, ces rencontres fortuites qui nous font faire WOW ! et qui nous laissent souvent sans voix.

 

Ces instants précieux où nous pensons à une personne et qu’elle nous appelle ou nous écrit au même moment.

 

Ce commentaire que nous nous apprêtons à faire et que quelqu’un d’autre exprime en même temps.

 

Une expérience difficile que nous vivons alors que nous tombons sur un article qui exprime exactement ce que nous ressentons. Ces retrouvailles non orchestrées qui tombent pile au bon moment.

 

Ces discussions spontanées qui nous font réaliser certaines choses cruciales pour nous alors que nous sommes prêts à les entendre.

 

Tous ces événements, ces rencontres qui surgissent au moment où nous en avons précisément besoin et qui s’emboîtent l’un dans l’autre comme la résolution parfaite d’un casse-tête magique ! Ces synchronicités sont de magnifiques cadeaux de la Vie, des signes qu’elle met sur notre chemin pour nous indiquer la route à prendre, des baumes qu’elle nous offre gracieusement quand nous avons besoin de réconfort, des évidences de ce qui est plus grand que nous quand nous sommes sur le point de perdre foi en la Vie, en nous-mêmes, parfois.

 

Au début, il faut parfois les chercher, y prêter attention, les dénicher dans la banalité apparente d’un événement. Mais plus nous sommes ouverts, plus nous constatons que ces synchronicités abondent et plus nous éprouvons de la gratitude envers l’immense générosité de la Vie.

 

https://www.facebook.com/DianeGagnon.Auteur.Coach

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

LES SYNCHRONICITÉS
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4 avril 2016 1 04 /04 /avril /2016 23:58

 

 

 

Texte de Serge Toussaint

 

Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix.

 

 

 

 

 

 

 

 

A propos de la fraternité

 

 

 

 

La fraternité, au même titre que la paix, fait partie des idéaux communs à la grande majorité des êtres humains, sans pour autant exister réellement sur Terre. Certes, il est relativement courant d’entendre dire ou de lire que «tous les hommes sont des frères», mais la réalité quotidienne montre qu’ils sont encore loin de se comporter comme tels. Pour s’en convaincre, il suffit de penser aux guerres et aux conflits qui, pour des raisons diverses et variées, ravagent encore le monde. Sans aller jusqu’à ces extrêmes, combien de familles ont cédé aux fâcheries, aux dissensions et aux ruptures ?

 

Comme chacun sait, on ne compte plus le nombre de frères et sœurs « de sang » qui ne se fréquentent et ne se parlent plus. Pourquoi en est-il ainsi ? Parce que tout être humain a tendance à privilégier son bien-être et son intérêt personnels, et à croire que sa manière de penser et de faire est la meilleure. Si l’on ajoute à cela l’influence de l’éducation, de la culture, de la religion, de la politique, etc., les mauvaises raisons de s’opposer les uns aux autres sont malheureusement nombreuses. Dès lors, la fraternité reste un vain mot et cède rapidement la place à l’intolérance, avec tout ce qui en résulte en termes de rejet, d’exclusion et de discrimination. En l’état actuel des choses, l’humanité donne plutôt un triste exemple de « fratricité ».

 

Est-ce à dire que la fraternité n’existe pas du tout en ce monde ? Non, mais il faut bien reconnaître qu’on la trouve surtout entre des personnes qui ont la même nationalité, la même culture, la même religion, les mêmes opinions politiques, etc., ou qui appartiennent à la même association, la même corporation, le même club, la même institution, la même confrérie, etc. Or, chacun comprendra que la fraternité n’a vraiment de sens que si elle inclut tous les êtres humains, quels qu’ils soient. Dans l’absolu, elle est l’accomplissement de l’unité dans la diversité ou, ce qui revient au même, de la diversité dans l’unité.

 

Depuis toujours, l’Ancien et Mystique Ordre de la Rose-Croix est une authentique fraternité. En effet, il réunit des Chrétiens, des Juifs, des Musulmans, des Bouddhistes…, et même des personnes qui ne suivent aucune religion. Par ailleurs, il compte parmi eux des hommes et des femmes qui ont des idées politiques différentes, voire opposées. Naturellement, il est représentatif de toutes les races, de toutes les ethnies et de toutes les nationalités. Or, si l’A.M.O.R.C. est capable d’entretenir et de maintenir des liens aussi fraternels entre ses membres, pourquoi l’humanité n’y parviendrait-elle pas ?

 

Chacun connaît la devise : «Liberté, Egalité, Fraternité», qui est apparue en France au moment de la Révolution Française de 1789. De l’idéal correspondant à chacun de ces trois mots, on peut se demander quel est le plus facile à réaliser sur Terre ? De mon point de vue, c’est la fraternité, car elle repose essentiellement sur la volonté individuelle, alors que la liberté et l’égalité font appel à des facteurs multiples, dont certains ne sont pas du seul ressort de l’individu, mais dépendent de décisions prises par

d’autres que lui.

 

http://www.blog-rose-croix.fr/a-propos-de-la-fraternite/

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

A propos de la fraternité

 

 

 

 

 

Dans la vie, il n’y a ni prix ni punitions, seulement des conséquences.

 

Robert Green Ingersoll

 

 

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31 mars 2016 4 31 /03 /mars /2016 21:59

 

 

 

 

 

Auteure : Iyanla Vansant, Recueil : Jusqu'à aujourd'hui.

 

Texte trouvé sur le site de mon amie Yvette : www.aujardindelamitie.

 

 

 

 

 

Aujourd’hui, vous êtes la bonne nouvelle!+Vidéo

 

 

 

 

 

 

Aujourd'hui, vous pouvez être la bonne nouvelle !

 

Refusez les pensées négatives, les paroles négatives et refusez de vous comporter négativement. Ne roulez pas des yeux, ne serrez pas les dents, ne serrez pas les poings et ne pointez personne du doigt aujourd'hui ! Oh ! Non !

Vous serez la bonne nouvelle !

 

Vous aurez quelque chose de bon à vous dire et à dire à chaque personne que vous rencontrerez. Pas d'inquiétude aujourd'hui ! Pas de jugements aujourd'hui ! Pas de commérages, pas de critiques ni de jugements aujourd'hui ! Pas vous ! Oh ! Non !

Vous êtes la bonne nouvelle aujourd'hui !

 

Vous serez le compliment que quelqu'un voulait entendre. Vous serez l'encouragement que quelqu'un attendait. Vous serez le sourire dont quelqu'un avait besoin. Vous serez le généreux pourboire que quelqu'un voulait recevoir. Vous serez une prière aujourd'hui. Vous serez une faveur aujourd'hui. Vous prendrez quelque chose qui n'allait nulle part et en ferez quelque chose de bien.

 

Vous ne vous attarderez pas à ce qui ne va pas dans votre vie. Vous ne vous plaindrez pas. Il n'y aura pas de crise, pas de drame ni de victimes aujourd'hui. Il n'y aura pas de tristesse, pas de mélancolie et pas d'air sinistre.

Aujourd'hui, vous serez la bonne nouvelle !

 

Vous allez avoir quelque chose de bon à dire, quelque chose de bon à donner, quelque chose de bon à faire à quelqu'un. Aujourd'hui, vous allez réaliser que  puisque vous êtes la bonne nouvelle , vous ne pouvez que profiter de ce que vous êtes.

 

 

http://www.lapetitedouceur.org/2016/03/aujourd-hui-vous-etes-la-bonne-nouvelle.html?utm_source=_ob_email&utm_medium=_ob_notification&utm_campaign=_ob_pushmail

 

 

 

 

 

 

 

 

Vidéo : « Faire le tour de notre jardin » Texte de Diane Gagnon

 

https://www.youtube.com/watch?v=u2_9qGGIALc#t=35

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

« Il est tout à fait normal d'aspirer à avoir plus ou mieux dans la vie mais, nous le savons, c'est une quête sans fin.

 

Et si plutôt, on apprenait à vraiment apprécier ce que nous avons déjà... »

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28 mars 2016 1 28 /03 /mars /2016 22:07

 

 

Texte d’Eckhart Tolle

Au sujet du plaisir

 

 

 

La joie ne vient pas de ce que l'on fait. Elle se diffuse dans nos actions, et donc dans le monde, à partir d'une source profonde en nous.

 

Lorsqu'on agit dans l'abandon, qu'on prend vraiment plaisir à faire ce que l'on fait, la paix qui en découle donne le sentiment d'être en vie. Le plaisir est la seconde modalité de l'action éveillée. Sur la nouvelle terre, le plaisir remplacera le vouloir (la concentration sur le manque de caractère de ce que l'on veut) comme la puissance de motivation derrière les actions des gens. Le désir provient d'une illusion de l'égo, selon laquelle vous êtes un fragment séparé, déconnecté du pouvoir que sous-tend toute création. Par le plaisir, vous vous connectez à ce pouvoir créatif universel.

 

Lorsque vous placez le moment présent au centre de votre vie, au lieu du passé ou du futur, votre capacité à prendre plaisir à ce que vous faites augmente de manière spectaculaire - et votre qualité de vie aussi. La joie est l'aspect dynamique de l'Être. Lorsque le pouvoir créatif de l'univers prend conscience de lui-même, il se manifeste comme joie. Vous n'avez pas besoin d'attendre que quelque chose de "significatif" entre dans votre vie pour profiter enfin de ce que vous faites. Le sens que l'on trouve dans la joie dépasse tout ce dont on a besoin. Attendre quelque chose pour commencer à vivre est un syndrome, une des illusions les plus répandues de l'état non conscient. L'expansion, le changement positif, viendront plus facilement dans votre vie au niveau extérieur si vous commencez dès maintenant à apprécier ce que vous faites, plutôt que d'attendre que quelque chose bouge pour commencer à prendre plaisir à agir.

 

Ne demandez pas à votre mental la permission d'apprécier ce que vous faites. Vous ne recevrez qu'une multitude de raisons selon lesquelles vous ne pouvez pas. "Pas maintenant", dira le mental. "Ne vois-tu pas que je suis occupé? Je n'ai pas le temps. Peut-être que tu peux commencer à prendre plaisir demain..." Mais ce demain ne viendra jamais, à moins de commencer maintenant.

 

Lorsque vous dites, j'aime faire ci ou ça, c'est en fait une mauvaise perception. Cela donne l'impression que la joie vient de ce que vous faites. Or ce n'est pas le cas. La joie ne vient pas de ce que l'on fait, elle se diffuse dans nos actions, et donc dans le monde, à partir d'une source profonde en nous. Cette mauvaise perception que la joie provient de nos actions est normale, et elle est aussi dangereuse : elle crée l'impression que la joie est quelque chose que l'on peut trouver dans un objet ou une activité extérieurs. Alors on attend du monde qu'il nous donne la joie, le bonheur. Mais il n'en est pas capable. C'est pour cela que beaucoup de gens vivent dans la frustration constante. Le monde ne leur donne pas ce dont ils pensent avoir besoin.

 

Alors quelle est le lien entre ce que vous faites et l'état de joie? Vous apprécierez toute activité dans laquelle vous serez totalement présent, toute activité qui n'est pas simplement un moyen pour parvenir à une fin. Ce n'est pas l'action menée que vous appréciez vraiment, mais le sentiment profond d'être en vie qui en découle. Ce sentiment d'être vivant fait corps avec ce que vous êtes. Cela signifie que lorsque vous prenez plaisir à faire quelque chose, vous faites l'expérience de la joie de l'Être, dans son aspect dynamique. C'est pour cela que tout ce que vous appréciez vous connecte avec le pouvoir qui sous-tend toute création.

 

Voici une pratique spirituelle qui permet de reprendre le pouvoir, et d'ouvrir la créativité dans votre vie. Faites une liste de toutes les activités de la routine du quotidien que vous menez fréquemment. Incluez les activités que vous considérez comme inintéressantes, ennuyeuses, pénibles, irritantes ou stressantes. Mais n'incluez pas ce que vous détestez ou haïssez. Ces activités-là nécessitent soit d'être acceptées, soit d'être abandonnées. La liste peut inclure les trajets entre votre domicile et votre lieu de travail, les courses, la lessive, ou toute autre chose que vous trouvez pénible ou stressante dans votre vie quotidienne. Ensuite, dès que vous commencez ces activités, utilisez-les comme véhicules pour développer la vigilance. Soyez absolument présent dans ce que vous faites, et ressentez le calme vigilant qui vit en vous, à l'arrière-plan de l'activité. Vous trouverez bientôt que ce que vous faites dans cet état de conscience intensifiée, au lieu d'être stressant, pénible ou irritant, devient agréable. Plus précisément, ce que vous appréciez n'est pas l'action en elle-même, mais la dimension intérieure de conscience qui circule dans l'action. C'ets le fait de trouver la joie d'Être dans ce que vous faites. Si vous avez l'impression que votre vie manque de sens, ou qu'elle est trop stressante ou pénible, c'est parce que vous n'avez pas encore intégré cette dimension dans votre vie. Agir en conscience n'est pas encore devenu votre but principal.

 

Lorsque de plus en plus de gens découvrent que le but principal de leur vie est d'apporter la lumière de la conscience dans le monde, et donc d'utiliser tout ce qu'ils font comme un véhicule pour la conscience, alors la nouvelle terre advient.

 

La joie de l'Être est la joie d'être conscient La conscience éveillée prend le pas sur l'égo, et commence à guider votre vie. Vous découvrez alors que certaines choses que vous faites depuis longtemps prennent beaucoup plus d'ampleur lorsqu'elles sont illuminées par le pouvoir de la conscience, et cette expansion se fait tout naturellement.

 

Certaines de ces personnes, en faisant simplement ce qu'elles aiment le plus sans vouloir réussir quoi que ce soit ni devenir qui que ce soit à travers cette activité, enrichissent la vie de beaucoup d'autres. Ce peut être des musiciens, des artistes, des écrivains, des scientifiques, des enseignants, des constructeurs, ou des gens qui manifestent de nouvelles structures sociales ou commerciales (des entreprises éclairées). Parfois, pendant quelques années, leur sphère d'influence est limitée; et soudain, ou de manière croissante, une vague de pouvoir créatif enveloppe ce qu'ils font, et leur activité grandit au-delà de ce qu'ils pensaient possible, et touche d'innombrables autres personnes. En plus du plaisir, une intensité s'ajoute à ce qu'ils font, et avec cela vient une créativité qui va au-delà de ce qu'un être humain ordinaire peut accomplir.

 

Mais il ne faut pas que cela vous monte à la tête, parce que là peut se cacher un reste d'égo. Vous êtes toujours un être humain ordinaire. Ce qui est extraordinaire est ce qui vient au monde par votre intermédiaire. Mais cette essence est partagée avec tous les êtres. Au quatorzième siècle, le poète perse et maître Soufi Hafiz a magnifiquement exprimé cette vérité: "Je suis un trou dans une flute, dans laquelle le souffle du Christ circule. Écoute cette musique."

 

http://www.humanitysteam.fr/Eckhart-Tolle-Au-sujet-du-plaisir_a689.html

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Au sujet du plaisir
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24 mars 2016 4 24 /03 /mars /2016 23:12

 

 

 

 

Tout d'abord  hommage aux victimes belge

A propos de l’islamisme

 

 

Texte de Serge Toussaint

 

Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix

 

 

 

 

 

A propos de l’islamisme

 

 

 

 

Désormais, il semble évident, aux yeux d’un très grand nombre de personnes, que l’islamisme est un danger qui menace l’équilibre du monde, la paix entre les peuples, et l’entente entre citoyens d’un même pays. Les attentats, les prises d’otages, les exécutions et autres crimes commis au nom de l’Islam en maints endroits en sont la preuve évidente. La folie meurtrière des islamistes de Daesh, Boko Haram et autres sectes mortifères paraît sans limite et sème la terreur sur tous les continents. Quoi qu’on en dise, ses adeptes mènent une guerre ouverte et frontale contre tous ceux qui ne pensent et ne vivent pas comme eux.

 

Face à ce danger planétaire, on constate que la Communauté internationale est à la fois désemparée et hésitante sur ce qu’il faut faire ou ne pas faire pour le surmonter et protéger les populations. Par ailleurs, elle est très divisée sur le “jeu” des alliances, ceci en raison d’intérêts politiques et économiques, auxquels s’ajoute le poids de l’histoire. Il est évident que de telles divisions profitent à l’islamisme et accroissent son pouvoir de nuisance. À la plus grande satisfaction des marchands d’armes, l’option militaire bat son plein dans les pays supposés être des foyers de radicalisation. Mais cela suffira-t-il ? Est-ce la bonne solution ?

 

Étant donné que les islamistes utilisent le prétexte de l’Islam pour justifier leur folie, il me semble que c’est aussi et peut-être surtout sur le terrain islamique qu’il faut agir. Pour être plus précis, je pense que les Musulmans ont un rôle majeur à jouer dans ce que d’aucuns qualifient de «guerre de civilisation». On évalue leur nombre à environ 1,6 milliards dans le monde. S’ils s’unissaient pour condamner sans appel et rejeter massivement l’idéologie islamiste suivie par les fanatiques et les intégristes qui se réclament de leur religion, on peut supposer que ces derniers se sentiraient plus isolés et moins forts. Or, jusqu’à ce jour, force est de constater que cette mobilisation militante reste très insuffisante, ce qui est d’autant plus regrettable que cela alimente l’idée selon laquelle «Qui ne dit mot consent» (même un peu).

 

Depuis la montée de l’islamisme dans le monde, de nombreuses voix s’élèvent pour dire qu’il est l’œuvre d’une infime minorité de “fous furieux”, et que la majorité des Musulmans sont «modérés». Personnellement, je n’en doute pas, mais l’expression «Musulmans modérés» n’a pour moi aucun sens dans l’absolu. Ou alors, il faudrait parler également des «Juifs modérés», des «Chrétiens modérés», des «Hindouistes modérés», etc., pour les dissocier des fidèles “extrémistes” que l’on trouve dans toute religion. Qualifier de «modéré» un Musulman qui vit sa foi paisiblement et dans le respect des lois du pays où il réside est presque une insulte, en ce sens que cela laisse supposer qu’il pourrait a priori ne pas être modéré, et même être extrémiste.

 

Comme vous peut-être, j’ai entendu des Musulmans déclarer qu’ils ne voyaient pas pourquoi ils devraient se démarquer des islamistes, prétextant qu’ils n’ont pas à se justifier de leur bonne manière de pratiquer l’Islam. Bien que je respecte ce point de vue, je ne le partage pas, car, précisément, cela entretient le doute et la confusion. Quoi qu’il en soit, il y a des Musulmans parmi les membres de l’A.M.O.R.C. (tout comme il y a des Juifs, des Chrétiens, des Bouddhistes, etc.), et je sais qu’ils ont à cœur de dénoncer l’islamisme ouvertement et sans concession. Je les en remercie très sincèrement, car c’est le meilleur service qu’ils puissent rendre à leur religion et à l’humanité.

 

http://www.blog-rose-croix.fr/a-propos-de-l-islamisme/

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

A propos de l’islamisme
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