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3 mars 2016 4 03 /03 /mars /2016 23:15

 

 

 

Texte de Serge Toussaint

 

Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix

 

 

 

 

 

 

 

A propos des péchés

 

 

 

Comme vous le savez certainement, la plupart des religions intègrent dans leur enseignement la notion de péché, qu’elles définissent généralement comme un acte contraire à leur credo, et par extension comme opposé à la Volonté divine. En règle générale, on distingue deux sortes de péchés : les péchés véniels, peu graves et aisément pardonnables ; et les péchés mortels, graves au point d’entraîner éventuellement la damnation du pêcheur. Parmi ces derniers, sept sont considérés comme capitaux dans le Christianisme : l’avarice, la colère, l’envie, la gourmandise, la luxure, l’orgueil et la paresse.

 

Considérant que les péchés sont une offense à Dieu, qu’ils avilissent l’âme de l’être humain et qu’ils compromettent son accès au paradis après la mort, les religions concernées dissuadent leurs fidèles d’en commettre et, lorsqu’ils le font, les engagent à se confesser auprès d’un membre du clergé. À l’issue de cette confession effectuée sous le sceau du secret, le pécheur est généralement absous, non sans avoir fait acte de contrition à travers quelques prières et s’être engagé à ne plus pécher.

 

Si je respecte ceux et celles qui croient à la notion de péché, je n’y adhère pas, pas plus que la plupart des Rose-Croix. En effet, cette notion est fondée sur l’idée que les religions concernées se font, non seulement de ce qui est bien et mal dans le comportement humain, mais également de ce qui plaît ou déplaît à Dieu à travers ce comportement. Elle est donc subjective et arbitraire. On notera d’ailleurs que ce qui est considéré comme un péché dans tel credo ne l’est pas dans tel autre, ce qui prouve qu’elle ne repose pas sur une ontologie universelle, mais sur une théologie spécifique à chaque religion.

 

Certes, il y a des comportements fondamentalement bons, et d’autres fondamentalement mauvais. Mais peut-on mettre au même niveau le fait d’être gourmand, qui ne nuit en fait qu’à soi-même, et le fait de tuer, qui constitue une atteinte on ne peut plus grave à l’intégrité d’autrui ? Quant aux péchés dits “mortels”, je vois mal comment et pourquoi ils pourraient faire mourir le corps, d’autant plus qu’ils concernent l’âme et que celle-ci est immortelle par nature. Par ailleurs, je pense qu’aucune personne ayant péché, même très gravement, ne peut être damnée, fut-ce temporairement ou éternellement.

 

D’un point de vue rosicrucien, les êtres humains que nous sommes ne commettent pas des péchés, mais des erreurs et des fautes plus ou moins graves. Chacune d’elles met en action la loi karmique et donne lieu à des épreuves plus ou moins difficiles, destinées à nous faire comprendre en quoi elles ont été préjudiciables à nous-mêmes ou à autrui. Je suis convaincu également qu’aucune personne extérieure à nous, fût-elle un membre éminent de tel ou tel clergé, ne peut les effacer et nous absoudre. Un tel pouvoir irait à l’encontre de notre évolution spirituelle, laquelle est fondée sur l’obligation pour chacun d’assumer le karma négatif qu’il se crée lui-même par une mauvaise application de son libre arbitre.

 

http://www.blog-rose-croix.fr/a-propos-des-peches/

 

 

 

 

 

 

A propos des péchés
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1 mars 2016 2 01 /03 /mars /2016 09:33

 

 

 

Source : Dre Diane LeBlanc,

 

Tout va mal ? Tant mieux !

 

 

 

 

 

 

Exercice de lâcher-prise+ vidéo

 

 

 

 

 

Voici un petit exercice de lâcher-prise tout simple et très parlant que vous pouvez reprendre à volonté chaque fois qu’une situation problématique se présente dans votre vie.

 

 

Imaginez que vous étendez un bras droit devant vous, le dos de la main fixant le ciel, tandis que vous tenez fermement dans votre paume un diamant précieux. Vous garderez, bien entendu, votre main solidement fermée, vos doigts s’agrippant au joyau pour ne pas le laisser s’échapper.

 

Alors si quelqu’un vous invite à lâcher prise, que ferez-vous ?

 

Ouvrirez-vous la main au risque de laisser tomber le diamant ?

 

Que se passe-t-il dans votre tête si vous vous dites que vous devez laisser aller ce que vous avez de plus cher ? Croyez-vous que lâcher prise veuille dire laisser tomber, renoncer, capituler, jeter l’éponge, perdre la face ou abandonner la partie ? Si c’est le cas, pas étonnant que vous refusiez de vous y soumettre !

 

Or, le vrai lâcher-prise implique plutôt de voir les choses autrement, de vous ouvrir à de nouvelles avenues auxquelles vous n’avez pas encore songé par vous-même.

 

Dans le cas présent, il n’est pas nécessaire de garder la main tournée vers le sol pour l’entrouvrir : vous pouvez la retourner vers le haut, paume vers le ciel, et dénouer vos doigts afin de faire de la place aux nouvelles possibilités qui se présentent à vous.

 

Lâcher prise, c’est tout simplement lâcher le contrôle, faire confiance à la Vie et vous ouvrir pour recevoir les innombrables bienfaits qui pleuvent sur votre tête.

 

La prochaine fois que vous sentirez qu’il vous faut lâcher prise, refaites ce petit geste significatif : libérez-vous de votre souci en le remettant entre les mains de votre âme, de Dieu ou de toute autre personnes « là-haut » en qui vous avez confiance… Puis, tendez les mains droit devant vous, ouvertes et prêtes à accueillir de merveilleux joyaux sous forme de bénédictions providentielles ou de solutions parfaites !

 

http://www.lapetitedouceur.org/article-exercice-de-lacher-prise-123468178.html

 

 

 

 

 

 

 

 

Voici le lien de la vidéo ci- dessous.

https://www.youtube.com/watch?v=EN-MB2JblHM

 

 

 

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26 février 2016 5 26 /02 /février /2016 01:19

 

 

 

 

Auteur Karen

 

Source EPANEWS.fr

 

 

 

 

 

 

Le Pouvoir de l’Intention +vidéo

 

 

 

 

 

 

Ce n'est pas vraiment une nouveauté,

 

mais l'intérêt de cette vidéo c'est que la physique quantique démontre le pouvoir de la Conscience,

 

mais aussi celui du moment présent, du lâcher-prise et donc de la force que nous avons ensemble pour aider l'humanité.

 

C'est une nouvelle réalité.

 

http://www.choix-realite.org/8071/le-pouvoir-de-lintention

 

 

 

La vidéo ci-dessous  si vous ne pouvez la voir sur le blog, voici le lien.

 

https://www.youtube.com/watch?v=kr7ye-afuMM

 

 

 

 

 

Le Pouvoir de l’Intention +vidéo

 

 

 

 

                   Pensée de Shakespeare

 

« L'amour ne regarde pas avec les yeux, mais avec l'âme »

 

 

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23 février 2016 2 23 /02 /février /2016 05:56

 

 

Texte de Diane Gagnon -

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

LE JUGEMENT

 

 

 

Tant de gens se jugent les uns les autres.

 

On envie la réussite de l’un et tout de suite

 

on le soupçonne de ne pas être compétent.

 

On juge la personnalité de l’une que l’on trouve trop voyante, celle d’un autre qu’on trouve trop fade, celle d’une autre qui a un caractère épouvantable….Ce que nous jugeons chez l’autre, bien souvent nous le portons en nous mais nous ne voulons pas le voir. Quand nous sommes dans le jugement, nous ne pouvons pas être dans l’amour.

 

Nous ne laissons pas de place à l’épanouissement d’une belle relation, nous activons des pensées négatives qui en attireront d’autres, notre niveau d’énergie baisse, notre humeur change. Quand nous sommes en train de juger, nous ne voyons pas ce qu’il y a de bon dans cette situation, chez cette personne, dans cet événement.

 

Nous fermons toutes les portes du cœur pour porter un jugement qui manque de jugement!

 

Et qui manque surtout d’amour.

 

Il y a du bon en toute personne, trouvons-le! Nous sommes bien plus heureux quand nous cherchons le bon chez les autres quand lorsque nous passons notre temps à les critiquer.

 

Avoir du jugement, ce n’est pas juger les autres pour ce qu’ils sont ou ce qu’ils font. Avoir du jugement, c’est prendre les bonnes décisions pour soi dans les meilleures conditions possibles. Juger l’autre, c’est le contraire de l’amour.

 

Ayons du jugement mais ne jugeons-pas!

 

Car il est impossible d’aimer quand on juge.

 

Et il est impossible de juger quand on aime!

 

https://www.facebook.com/DianeGagnon.Auteur.Coach

 

 

 

 

LE JUGEMENT
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19 février 2016 5 19 /02 /février /2016 02:46

 

 

 

 

Texte de Serge Toussaint

 

Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix

 

 

 

 

 

 

 

A propos de l’Expérience de Mort Imminente (EMI)

 

 

 

 

 

 

Comme vous le savez certainement, de plus en plus de scientifiques s’intéressent à l’EMI. Si tel est le cas, c’est parce qu’ils ne peuvent plus ignorer les milliers de témoignages recueillis à travers le monde auprès de personnes ayant vécu une telle expérience. Dans tous les cas, la description qui en est faite est quasiment la même : alors qu’elles sont dans un état de « coma dépassé » ou considérées comme « mortes cliniquement » à la suite d’un accident, d’une maladie ou d’une opération chirurgicale, elles ont le sentiment de quitter leur corps physique, d’entendre et de voir ce qui se dit et ce qui se passe dans la pièce où elles se trouvent, et même au-delà de cette pièce. Puis vient le moment où elles se sentent comme attirées vers un monde qui transcende le plan terrestre. C’est alors qu’elles ont l’impression de traverser ce fameux tunnel de lumière, au bout duquel les attendent des êtres chers qu’elles avaient connus ici-bas.

 

S’il est un fait que de plus en plus de scientifiques s’intéressent à l’EMI, la majorité d’entre eux demeurent sceptiques et ne voient dans cette expérience qu’un ensemble d’impressions générées par une zone du cerveau. Autrement dit, il s’agit pour eux d’un phénomène purement physiologique qui ne prouve ni l’existence de l’âme ni celle de l’après vie. Mais alors, on peut se demander pourquoi la nature, qui ne fait rien pour rien et ne cherche pas à nous duper, aurait fait en sorte que l’homme, lorsqu’il est sur le point de mourir, vit un état de conscience qui le conforte dans l’idée que la mort ne marque pas la fin définitive de notre existence. On peut se demander également pourquoi ceux et celles qui ont vécu cet état en reviennent radicalement transformés et, si ce n’était déjà le cas, mènent par la suite une existence empreinte d’humanisme et de spiritualité.

 

Parmi les nombreuses expériences rapportées sur le sujet, il faut revenir sur celles où les personnes concernées ont entendu et vu des choses qui se disaient ou se faisaient dans d’autres pièces ou d’autres lieux que celle ou celui où elles se trouvaient physiquement. De mon point de vue, c’est la preuve que la conscience humaine n’est pas limitée au corps physique, mais peut s’étendre bien au-delà. C’est la preuve également qu’elle n’est pas le produit exclusif du cerveau, puisque dans la plupart des cas répertoriés, il ne fonctionnait plus (électro-encéphalogramme plat). Comment expliquer, par exemple, qu’à l’issue d’une opération chirurgicale très longue et très complexe, nombre de sujets aient pu décrire ensuite les phases de cette opération, les instruments utilisés, la disposition des pièces adjacentes au bloc opératoire, etc. ? Quoi qu’ils en disent, les scientifiques sont incapables d’expliquer une telle perception qui, en tout état de cause, est extra-sensorielle.

 

En ce qui me concerne, il est évident que l’EMI est l’antichambre de ce que l’on appelle improprement «la mort». Pour être plus précis, elle correspond à la première étape d’un processus mystique qui en comporte plusieurs, et que les Rose-Croix désignent sous le nom de «transition». Au cours de cette première étape, l’âme quitte graduellement le corps et perçoit avec acuité tout ce qui se passe autour de lui. Mais au lieu de s’en libérer définitivement et de poursuivre sa transition vers le monde spirituel, elle le réintègre (parfois brutalement) et réactive l’ensemble de ses fonctions vitales, dont l’activité cérébrale. La personne que l’on croyait morte revient alors à la conscience, gardant le souvenir de ce qu’elle a perçu durant cette expérience, au point de pouvoir décrire ce qu’elle a vu et entendu.

 

D’un point de vue rosicrucien, la conscience est un attribut de l’âme et non une fonction exclusive du cerveau. Lorsqu’elle quitte momentanément le corps à l’occasion d’une EMI, elle perçoit les choses indépendamment des facultés cérébraux-sensorielles. Libérée des limites liées au temps, à l’espace et à la matière, elle peut même « voir » et « entendre » ce que notre vue et notre ouïe physiques sont incapables de percevoir. Autrement dit, elle expérimente provisoirement l’état spirituel qui sera le sien au moment de la mort, lorsqu’elle franchira le seuil de l’après-vie.

 

http://www.blog-rose-croix.fr/experience-de-mort-imminente/

 

 

 

 

CI-DESSOUS VIDEO

 

Ou va-t-on aprés la mort?

 

 

 

 

 

 

https://www.youtube.com/watch?v=u4tuObnMdhc

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16 février 2016 2 16 /02 /février /2016 09:34

 

 

 

Texte de Serge Toussaint

 

Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix

A propos de la résilience

 

 

On entend parfois des philosophes, des psychologues et des sociologues parler de résilience à propos de tel individu, de telle communauté, de tel peuple ou de telle nation. Bien que ce terme leur semble familier et revête dans leur esprit un sens précis et évident, il recouvre une notion qui n’est pas si courante et même, probablement, dont beaucoup ignorent la signification. Il me semble donc intéressant de l’expliciter et de voir brièvement ce que l’on peut en dire à la lumière de la philosophie rosicrucienne.

 

Le mot «résilience» revêt des significations différentes, selon le contexte dans lequel il est employé :

 

En écologie : «Capacité d’un écosystème, d’une espèce ou d’un individu à récupérer un fonctionnement ou un développement normal après avoir subi une perturbation».

 

En économie : «Capacité à revenir sur la trajectoire de croissance après avoir encaissé un choc».

 

En psychologie : «Capacité à revenir d’un état de stress post-traumatique», etc.

 

D’où cette définition générale : «capacité d’un corps, d’un organisme, d’une organisation ou d’un système quelconque à retrouver ses propriétés initiales après une altération».

 

En extrapolant quelque peu, on peut dire que la résilience est l’aptitude d’une personne ou d’un groupe de personnes à surmonter une épreuve ou à se ressaisir, et à renouer avec l’harmonie et le bien-être.

 

Appliquée à l’être humain, que ce soit d’ailleurs à titre individuel ou collectif, la résilience est donc une aptitude positive, pour ne pas dire une vertu. En effet, elle fait appel à ce qu’il y a de meilleur dans la nature humaine. Au regard de la philosophie rosicrucienne, elle prend sa source dans ce qu’il y a de plus divin en chacun de nous et fait appel à ce que l’on désigne couramment sous le nom de «force intérieure». Chaque fois que nous sommes éprouvés ou que nous souhaitons nous ressaisir, c’est dans cette force qu’il faut puiser la volonté et le courage d’agir en conséquence.

 

Quand on parle de résilience, il est difficile de faire abstraction du verbe «résilier». En termes de convention, on peut établir un lien entre ces deux mots et dire que la résilience consiste à résilier nos mauvais comportements, c’est-à-dire à y mettre fin, au profit de bons comportements. Vue sous cet angle, elle s’apparente à l’alchimie mentale et spirituelle si chère aux Rose-Croix, laquelle consiste à transmuter nos faiblesses et nos défauts en leurs qualités opposées, afin de devenir meilleur sur le plan humain et, par voie de conséquence, d’améliorer le monde. La résilience implique également l’aptitude à respecter la nature et à vivre en harmonie avec elle.

 

Chacun peut constater que l’humanité va mal et qu’elle donne le sentiment de courir à sa perte. Le seul moyen de se sauver d’elle-même et de s’ouvrir à un bel avenir consiste à faire acte de résilience, c’est-à-dire à rompre avec les fausses valeurs qui prédominent actuellement. Cela suppose d’adopter des mœurs fondés sur le désir individuel et collectif de manifester ce que les sages du passé ont toujours exalté dans le comportement humain : tolérance, non-violence, humilité, intégrité, bienveillance, générosité, etc. Autrement dit, nous devons plus que jamais faire de l’éthique le fondement de nos choix et de nos agissements.

 

 

http://www.blog-rose-croix.fr/a-propos-de-la-resilience/

 

 

 

 

 

A propos de la résilience
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12 février 2016 5 12 /02 /février /2016 06:29

 

 

 

Texte prit sur le site de:

 

Diane Gagnon par Nicole Charest

 

 

 

 

 

 

 

 

Nos résistances

 

 

 

Bien que nous sachions que ce soit utopique, nous souhaitons tous vivre une vie heureuse, sans problèmes et sans souffrances.

 

 

Pourtant, c’est souvent nous-mêmes qui alimentons inconsciemment certaines des souffrances que nous éprouvons. Nous ne le faisons pas intentionnellement, bien sûr, mais nous sommes trop souvent esclaves de nos émotions comme la résistance, la colère, la haine, la rancune, la jalousie, la peur, le jugement, la fermeture, et les autres interprétations erronées que l’on se fait à propos des gens et des événements.

 

En fait, c’est souvent notre résistance à accepter la réalité qui crée notre souffrance. Ainsi, face à cette prémisse, nous avons parfois envie de répondre que notre cas est pire, que ce n’est pas nous qui nous faisons souffrir, que l’enfer c’est les autres, que personne ne nous comprend… On résiste de toutes nos forces à ce qui nous fait mal, à ce qui nous dérange. On juge, on critique, on refuse d’accepter les aléas de la vie s’ils sont contraires à nos attentes. Pourtant, on s’épargnerait bien des souffrances si on acceptait dès maintenant le fait que tout ce qu’on désire n’est pas nécessairement fait pour nous et que tout ce qui nous arrive est précisément ce dont nous avons besoin !

 

Nous croyons faussement qu’une vie heureuse est une vie sans problèmes et sans souffrances.

 

Et pourtant, ceux-ci font partie de la Vie au même titre que la joie et les petits bonheurs : les uns ne vont pas sans les autres. Alors pourquoi résister de toutes nos forces face aux événements qui surviennent? La Vie est une suite de joies et de peines. C’est déprimant? Non, c’est la réalité! Plus tôt dans la vie nous acceptons ce fait, plus tôt nous devenons sereins face aux événements de la Vie.

 

Notre force se développe en faisant face aux événements difficiles, aux résistances, aux déceptions; elle nous indique aussi quel sera notre niveau de bonheur dans la vie.

 

Rien ne dure de manière permanente. Tout passe. Alors, apprécions les joies, apprenons des difficultés. Construisons ainsi notre bonheur. Le Bonheur n’arrive pas un jour soudainement dans notre vie: il se construit chaque instant par nos pensées et nos réactions.

 

Accepter ce qui est, composer avec la réalité, la modifier lorsque c’est possible, changer soi-même pour être plus heureux; c’est ça le secret du bonheur!.

 

 

www.lapetitedouceur.org

 

 

 

 

 

Pensée en images pour fêter l'Amour et l'Amitié sur toute la planète .

 

 

Nos résistances
Nos résistances
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9 février 2016 2 09 /02 /février /2016 09:26

 

 

Auteur ; Régis Raphaël Violette

 

 

 

 

 

 

 

Nous ne sommes que notre miroir

 

 

 

 

"Dialogue entre un non-sage et un sage".

 

Un non-sage demande au sage, qui est notre plus grand ennemi ? Le sage lui a répondu ceci : ton seul ennemi est-ce que tu crois vivre en tant que réalité. Le non-sage ne comprenant pas trop la réponse du sage. Comment la réalité peut-être mon pire ennemi ? Le sage lui répond à nouveau ceci : tu es ton seul ennemi. Encore là le non-sage ne comprenait pas la réponse du sage. Comment puis-je être mon pire ennemi quand je n'ai rien d'autre à combattre que moi-même ? Le sage lui répond, tout ce que tu combats est ton propre reflet, tu en es le miroir. Le non-sage dit : comment est-ce possible que tout ce que je suis en train de combattre se trouve être mon reflet, car j'en suis le miroir ? Le sage, lui dit simplement, ton combat se trouve être tes propres croyances, tes propres conditionnements, tes propres peurs, tes propres pensées, ce monde en est que le reflet.

 

 

Le non-sage s'interrogea sur toutes les réponses reçues du sage, il se dit ceci : ce que j'ai à combattre, ce qui est mon plus grand ennemi, se trouve être ma perception et mon regard que j'ai de la réalité, en fin de compte, ce sont mes propres pensées, mes propres actions, au lieu de combattre, je nourris cette réalité de tout ce qui perturbe mon esprit. L'esprit ne fait que manifester dans la réalité, cette image que je me fais de cette réalité, en fait elle me montre que mon propre reflet. Alors, le non-sage se dit, j'avais tout faux en réagissant avec tant de colère, tant d'incompréhension, je croyais que l'ennemi à combattre était à l'extérieur, qui se manifeste dans cette réalité. L'ennemi, n'est rien que la façon dont je vois ce monde, que je le conçois, car ce sont mes propres pensées qui créent cette réalité. Rien existe à par moi et cette réalité, il en est de même pour chacun, car tout est le reflet de ce que nous croyons et pensons être.

 

 

Le sage ajouta ceci : bravo, maintenant, tu sais qu'il n'y a rien à combattre, que la seule chose à faire c'est d'être en paix, en harmonie, dans la joie, dans le silence, dans la quiétude, béatitude pour vivre pleinement cette plénitude. Vivre cette relation d'unité dans la lumière de l'amour, toutes tes pensées sont que purs amours, pures consciences, que tout ce qui est, fait partie d'un même et seul tout. Le non-sage remercia le sage, merci d'être mon reflet, de m'avoir ouvert la conscience, de m'avoir à nouveau reflété la lumière de l'amour afin que mes pensées soient libérées de toute dualité, de tous ces conditionnements, croyances qui génèrent les peurs, la souffrance et le manque d'amour.

 

 

Le sage rajouta ceci : tu n'as pas à me remercier, tu as demandé et tu as reçu. Demande et tu recevras, voilà une très grande vérité. Avant de comprendre que tu es le créateur de ta réalité, tu devais comprendre ceci : que tu es le créateur de ton propre bien-être. Il n'en tient qu'à toi de prendre soin de ton miroir et de ce que tu reflètes par tes pensées, par tes actions, la réalité est toujours conforme à ce que tu rayonnes. Maintenant, si quelqu'un te demande qui est le plus grand ennemi, tu sauras quoi répondre, mon sage ami. Aime tout d'un même amour, il n'y a rien à combattre, la seule chose à faire c'est de tout aimer comme soi-même, ainsi tu es en paix et cela quelle que soit la réalité.

 

http://www.choix-realite.org/8217/nous-ne-sommes-que-notre-miroir

 

 

 

Nous ne sommes que notre miroir

 

 

 

Pensée d' Eckhart Tolle

 

«Quoi que vous réserve le présent, acceptez-le comme si vous l’aviez choisi.

 

Allez toujours dans le même sens que lui, et non à contresens.

 

Faites-vous-en un ami et un allié, et non un ennemi.

 

Cela transformera miraculeusement toute votre vie.»

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5 février 2016 5 05 /02 /février /2016 09:18

 

 

 

 

Texte de Diane Gagnon -

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

 

 

 

 

LE POUVOIR DE NOS PAROLES

 

 

 

 

Nous lançons parfois en l’air toutes sortes de paroles, de pensées, de désirs. Trop souvent, nous le faisons inconsciemment et pas toujours de façon positive. Nous avons quelques fois proféré des injures à des personnes en leur absence sans en mesurer la portée ou nous avons peut-être souhaité une vengeance pour des gestes que nous avons interprétés comme des trahisons. D’autres fois, nous avons prié ardemment pour que notre vie change, pour que nous rencontrions la personne idéale pour nous, pour que nos problèmes disparaissent.

 

 

Le pouvoir de nos paroles et de nos pensées est beaucoup plus grand que tout ce que nous pouvons imaginer.

 

Il vaut mieux toujours souhaiter le meilleur, pour soi comme pour les autres, car ce que nous souhaitons, disons et pensons constituent des messages puissants envoyés à l’Univers... qui nous répond toujours.

 

 

 

Si nous demandons à ce que notre vie change, soyons prêts à y faire face, car elle changera. Si nous demandons à évoluer, soyons plus que prêts car notre souhait sera entendu au-delà de nos espérances et les évènements se bousculeront dans notre vie pour nous faire évoluer. Si nous sommes négatifs dans nos souhaits, nos demandes, nos paroles, la Vie nous répondra en nous envoyant plus de négatif, plus de difficultés, puisque c’est ce que nous émettons comme énergie, comme demande, même inconsciemment.

 

 

Nos paroles et nos pensées d’aujourd’hui sont

 

les semences de ce que nous récolterons demain.

 

 

Alors portons attention à ce que nous souhaitons,

 

car cela pourrait bien se réaliser!

 

 

https://www.facebook.com/DianeGagnon.Auteur.Coach

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pensée de Diane Gagnon

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

LE POUVOIR DE NOS PAROLES
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2 février 2016 2 02 /02 /février /2016 08:42

 

 

 

Texte de Serge Toussaint

 

Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix

 

 

 

 

 

 

 

 

A propos de la Franc-Maçonnerie

 

 

 

 

Assez régulièrement, des internautes profitent de ce blog pour me demander ce qu’il en est des relations existant entre la Rose-Croix et la Franc-Maçonnerie. Il m’a donc semblé utile d’aborder ce sujet particulier.

 

 

En premier lieu, il est peut-être utile de rappeler que sur le plan purement historique, les Rose-Croix sont apparus au XVIIe siècle, en Allemagne, en France et en Angleterre, avec la publication de trois Manifestes : la «Fama Fraternitatis», la «Confessio Fraternitatis» et les «Noces chymiques de Christian Rosenkreutz», parus respectivement en 1614, 1615 et 1616. De nos jours, nous savons que ces Manifestes furent rédigés par un Collège de mystiques, le Cercle de Tübingen, dont faisaient notamment partie Jean Valentin Andreae (1586-1654). Quelques années plus tard, en 1623, les Rose-Croix se firent connaître davantage encore avec le placardage d’affiches dans les rues de Paris : «Nous, Députés du Collège principal de la Rose-Croix…». Depuis cette époque, le Rosicrucianisme s’est perpétué à travers divers mouvements, chacun transmettant son propre enseignement.

 

La Franc-Maçonnerie, de son côté, a fait son apparition au XVIIIe siècle, en Angleterre. L’un de ses textes fondateurs est la «Constitution d’Anderson», qui fut rédigée en 1721 par le révérend James Anderson, à l’initiative de John Montagu, qui était alors le Maître de la Loge de Londres, fondée en 1717. Ce texte fut publié pour la première fois en 1723, après avoir été passé en revue par une commission de «frères érudits». Considéré comme «la loi fondamentale de la Franc-Maçonnerie Universelle», il définit en plusieurs chapitres les «anciennes obligations des Maçons francs et acceptés». Depuis, la Franc-Maçonnerie s’est elle aussi perpétuée jusqu’à nos jours et a donné naissance à divers mouvements, appelés généralement «obédiences».

 

 

La plupart des historiens de l’ésotérisme s’accordent à dire que dès le XVIIIe siècle, certains Francs-Maçons s’inspirèrent de l’héritage rosicrucien, ce qui explique l’existence du degré «Rose-Croix» dans certaines obédiences actuelles. D’autres se sont démarqués du rosicrucianisme et ont élaboré leur propre doctrine spirituelle. D’autres encore ont opté pour une démarche plutôt socio-politique. Ces diverses tendances existent toujours au sein de la Franc-Maçonnerie, de sorte qu’elle est plus ou moins spiritualiste, selon les obédiences d’une part, et selon les Francs-Maçons qui les fréquentent d’autre part. À cela s’ajoute le fait que certaines sont mixtes, d’autres (plutôt) masculines, d’autres (plutôt) féminines.

 

 

Depuis toujours, l’Ancien et Mystique Ordre de la Rose-Croix est fondamentalement spiritualiste, totalement apolitique et résolument mixte. Pour ce qui est de ses relations avec la Franc-Maçonnerie, elles sont conformes à sa devise : «La plus large tolérance dans la plus stricte indépendance». Il n’y a donc ni proximité ni antagonisme entre ces deux mouvements traditionnels, chacun œuvrant selon les règles, les moyens et les buts qui lui sont propres. Cela étant, tout comme il y a des Rosicruciens chrétiens, juifs, musulmans, etc., il y a des Rosicruciens francs-maçons, et par conséquent des Francs-Maçons rosicruciens. Rappelons également que l’A.M.O.R.C. parraine l’Ordre Martiniste Traditionnel depuis le début du XXe siècle.

 

Un autre point mérite peut-être d’être signalé : quel que soit le pays où ils résident, tous les membres de l’A.M.O.R.C. reçoivent un enseignement écrit qui leur est adressé chaque mois sous forme de fascicules, d’une manière confidentielle (il est possible d’y avoir accès par Internet). Parallèlement, ceux qui le souhaitent peuvent se rendre dans une Loge et participer à des travaux collectifs qui complètent l’étude individuelle. À ma connaissance, la Franc-Maçonnerie ne dispense pas de formation écrite à ses membres.

 

http://www.blog-rose-croix.fr/a-propos-de-la-franc-maconnerie/

 

 

 

 

 

 

A propos de la Franc-Maçonnerie

 

 

 

 

 

Pensée de Bernard  werber

 

"Le moment le plus important c'est le présent

 

car si on ne s'occupe pas de son présent

 

on manque son futur".

 

 

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Ce blog a été créé le 22-08-2010 par mon adorable petit-fils Maxime


 

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