Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
12 décembre 2016 1 12 /12 /décembre /2016 22:56

 

 

 

 

 Suite sur les réincarnations.

 

 

 

 

 

Dialogue imaginaire avec Dieu ( les réincarnations).

 

 

 

 

Les âmes-sœurs se limitent-elles aux membres de la famille ?

 

Non. Cette notion s’étend aux personnes qui ont un niveau de conscience équivalent et entre lesquelles il existe une grande affection. Au-delà des membres de la « famille de sang »,des amis ou des proches sont souvent des âmes-sœurs, ce qui explique leur attachement mutuel et leurs affinités dans différents domaines.

 

 

Pouvons-nous nous souvenir de nos vies passées ?

 

Oui, mais pas de façon systématique et uniquement par bribes. Il ne faut rien forcer dans ce domaine, car si vous ne vous rappelez pas spontanément vos vies passées, c’est qu’il y a une bonne raison à cela.

 

 

Laquelle ?

 

Vous épargner le souvenir de choses indignes que vous avez pu faire dans l’une d’elles, et vous éviter ainsi le traumatisme que cela produirait dans votre vie présente.

 

 

Comment être certains que l’on se réincarne ?

 

Il vous est arrivé à tous d’avoir un sentiment de « déjà vu ». C’est aussi la réincarnation qui explique l’attirance que vous éprouvez parfois pour tel pays que vous n’avez pourtant jamais visité, telle civilisation antique, telle période de l’histoire, etc. Songe aussi aux enfants prodiges qui, dès leur plus jeune âge, font des choses qui nécessitent une expérience impossible à acquérir en quelques années.

 

 

Comment concilier la réincarnation et la résurrection des corps,

prônée par certaines religions ?

 

La résurrection n’a aucun fondement ontologique. A quoi servirait-il de ressusciter dans le même corps ? Et à quel âge ? Comment concevoir que des défunts inhumés depuis des siècles ou incinérés puissent se reconstituer et revivre ? Assurément, c’est votre âme qui « ressuscite », au sens qu’elle se réincarne chaque fois dans un corps nouveau. Et pour cela, nul n’est besoin d’attendre le « le jugement dernier » que je suis censé rendre à la fin des temps.

 

 

Le fait que la population mondiale augmente régulièrement n’est-

il pas en contradiction avec la réincarnation ?

 

Non, car indépendamment de ceux et de celles parmi vous qui se réincarnent, l’Âme universelle émane d’elle-même autant d’âmes que nécessaire pour répondre aux besoins de l’humanité. Pense également à ce que je t’ai dit à propos des animaux les plus évolués, à savoir qu’ils accèdent un jour au règne humain.

 

 

Y a-t-il in lien entre le niveau de conscience d’une personne et

son niveau intellectuel ? 

 

Non. Certains individus très intelligents et très cultivés manquent considérablement d’humanisme et de spiritualité. Mais tôt ou tard, leur intelligence et leur culture cessent de faire illusion et les laissent face à eux-mêmes. C’est alors l’occasion pour eux de s’interroger sur le sens profond de l’existence et de commencer une quête intérieure.

 

 

Est-ce à dire que tout être humain en vient un jour ou l’autre à

mener une quête spirituelle ?

 

 

Oui, et ce, indépendamment de sa race, de sa nationalité, de son milieu socio-culturel…

Comme je te l’ai déjà dit, c’est ce qui justifie votre existence. De vie en vie, vous prenez graduellement conscience de la nécessité de vous parfaire au contact des autres, ce qui vous conduit à travailler sur vous-mêmes et à vous améliorer.

 

 

Mais ne dit-on pas que « la perfection n’est pas de ce

monde » ?

 

Bien que vous n’en ayez pas conscience objectivement, l’aspiration à la perfection fait partie de votre nature profonde. Tu remarqueras d’ailleurs que nombre d’entre vous sont perfectionnistes dans ce qu’ils font. Sous l’impulsion de votre âme, vous ne cessez de vous parfaire et, par là même, d’évoluer spirituellement. A l’échelle humaine, ce processus est très long, au point de sembler imperceptible. Mais il se poursuit inexorablement, jusqu’au jour où, dans l’une de vos vies successives, vous accédez, sinon à la perfection, du moins à l’état de sagesse.

 

 

Mais qu’est-ce que la sagesse ?

 

C’est l’état de conscience de tout individu qui manifeste dans son comportement les vertus inhérentes à son âme, laquelle, je te le rappelle, est pure et parfaite en essence.

 

 

Un tel état semble inaccessible !

 

Détrompe-toi. Il est accessible à long terme, comme en témoigne la vie de certains parmi vous qui ont fait œuvre de sagesse. Mais au risque de te surprendre, le plus important à mes yeux n’est pas d’atteindre cet état, mais de s’évertuer à l’atteindre. Imagine ce que serait le monde si tous les hommes aussi imparfaits qu’ils soient s’évertuaient chaque jour à devenir meilleurs dans leurs jugements et dans leur comportement. Tu conviendras que la Terre ne serait pas si loin de ce fameux paradis que les religions situent quelque part dans le ciel.

 

 

Faut-il être parfait ou proche de la perfection pour être

heureux ?

 

Non. Comme je viens de te le dire, c’e »st plus l’effort à se parfaire que la perfection elle-même qui est louable au regard des lois qui régissent votre évolution spirituelle. Avoir conscience que le but de la vie est de s’améliorer, et travailler sur soi pour atteindre ce but, ne peut que vous être bénéfique sur tous les plans et vous rendre heureux. C’est ce qui explique pourquoi vous êtes contents de vous-mêmes lorsque vous avez surmonté l’une de vos faiblesses ou transmuté l’un de vos défauts.

 

 

Qu’entends-Tu par « transmuter » ?

 

 

Tout défaut est l’absence de la qualité opposée. Par exemple, l’orgueil est l’absence d’humilité, l’égoïsme l’absence de générosité, etc. Le meilleur moyen de « vaincre » un défaut n’est donc pas de le combattre, mais de le remplacer graduellement par la qualité opposée, qualité que vous possédez virtuellement et qui ne demande qu’à être éveillée. Là se trouve le fondement de la transmutation spirituelle que vous devez opérer en vous pour vous parfaire.

 

             

 

 

 

Suite le 16 décembre :

 

"les défauts"…

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
8 décembre 2016 4 08 /12 /décembre /2016 22:34

 

 

 

 

 

Ce sera un dialogue sur les

 

« les péchés » les « réincarnations »

 

 

 

 

 

 

Dialogue imaginaire avec Dieu  ( suite les « péchés »...  )

 

 

 

 

Qu’en est-il des « péchés » auxquels les religions se réfèrent ?

 

Certains d’entre eux s’apparentent effectivement à des actes ou à des comportements que l’on peut qualifier de « mauvais », ou de « négatifs », car ils portent réellement atteinte à votre dignité ou à votre intégrité. Mais d’autres sont arbitraires, en ce sens qu’ils correspondent à des fautes ou à des erreurs considérées comme telles par la religion concernée, alors qu’elles n’en sont pas sur le plan humain, ni même divin. Quoi qu’il en soit, aucun « péché » ne peut être suffisamment grave pour entrainer la « damnation » définitive du « pécheur ».

 

 

Mais alors, que faut-il penser de la confession de ses péchés à

une autorité religieuse ?

 

Qu’elle ne peut en aucun cas annuler les conséquences karmiques des fautes ou des erreurs commises ; notamment si elles ont causé du tort à autrui.

 

 

Est-il vrai que le diable existe et qu’il incite les hommes à faire

le mal ?

 

Non. Le diable n’a jamais existé, pas plus que les démons. Hélas, ce personnage mythique a donné naissance à de fausses croyances et à des superstitions qui ont entretenu la peur et conduit certains d’entre vous à faire des procès en sorcellerie et à commettre nombres de crimes. En réalité, le mal est l’œuvre de l’homme lui-même et résulte d’une application négative de son libre arbitre. C’est ainsi qu’il peut commettre des actes dits « diaboliques » ou « démoniaques ».

 

 

Alors, qu’en est-il de l’exorcisme ?

 

Cette  pratique n’a aucun fondement ontologique ni aucune efficacité. Etant donné que le diable n’existe pas, il ne peut prendre possession d’un autre être humain durant sa vie, ni de son âme après la mort. Là encore, on se situe dans le domaine de l’ignorance et de la superstition.

 

 

Dans cet ordre d’idée, que penser de ceux qui pratiquent la

magie noire et la sorcellerie ?

 

Qu’ils n’ont pas d’autre pouvoir que celui que vous leur attribuez. Personne ne peut nuire à autrui au moyen de telles pratiques.

 

 

Les anges existent-ils ?

 

Je sais que la plupart des religions s’y réfèrent et les assimilent aux êtres spirituels qui, d’après elles, m’assistent au quotidien pour mener à bien mon grand œuvre à travers la Création. Certaines en font également des messagers chargés de vous contacter en mon Nom. Au-delà de cette approche religieuse, il faut voir en eux des plans de conscience cosmiques.

 

 

Avons-nous un ange gardien ?

 

C’est l’âme qui vous anime. Et puisqu’elle participe de ma nature, elle est votre meilleure guide et votre meilleure protection.

 

 

Devons-nous croire aux miracles ?

 

Contrairement à la croyance populaire, il ne s’agit pas d’interventions de ma part pour guérir telle personne, protéger telle autre, et que sais-je encore. Ils correspondent à des faits ou des phénomènes ayant leur origine dans les lois naturelles, universelles ou spirituelles. Leur aspect, « miraculeux » est dû au fait que vous êtes incapables de comprendre leur cause réelle au moment où ils se produisent.

 

 

Dans un tout autre domaine, quelle est l’origine des races ?

 

L’humanité, comme je te l’ai déjà dit, ne provient pas d’un Couple originel, en l’occurrence Adam et Eve selon la Bible. Elle est l’aboutissement de l’évolution millénaire que la vie a suivie sur Terre, depuis l’apparition des premiers unicellulaires. Crois6le ou non, elle a émergé du règne animal à travers plusieurs foyers, en des lieux divers et à des époques différentes, d’où l’existence des races.

 

 

Y a-t-il une race plus évoluée qu’une autre ?

 

Non. En revanche, il y a dans chaque race des individus plus évolués que d’autres.

 

 

Que faut-il comprendre par « plus évolués que d’autres » ?

 

Cela veut dire que certains d’entre vous, toutes races confondues ; sont meilleurs que d’autres sur le plan humain. Autrement dit, ils ont éveillé plus de qualités humaines ; ils sont plus modestes, plus généreux, plus tolérants, plus courageux… Or, c’est cette intelligence du cœur qui fait la valeur et la dignité de tout être humain.

 

 

Comment expliquer cette différence ?

 

Par le nombre d’incarnations que chacun de vous a vécues et par les efforts qu’il a déployés en vue de se parfaire sur le plan humain. Certains d’entre vous sont de « vielles âmes », en ce sens qu’ils ont déjà connu de nombreuses vies et ont acquis plus d’expériences, plus de maturité, plus de sagesse. D’autres, en comparaison, sont de « jeunes âmes », ce qui explique qu’elles soient moins expérimentes, moins matures, moins sages. Mais elles évoluent nécessairement vers un niveau de conscience plus élevé. Il s’agit simplement d’une question de temps.

 

 

Un homme a-t-il toujours été et sera-t-il toujours un homme de vie en vie et une femme, une femme ?

 

Non. D’une vie à l’autre, un homme peur devenir une femme, et inversement, selon ce que son âme choisit pour mener à bien la poursuite de son évolution spirituelle. Naturellement, une incarnation en homme n’a rien de supérieur à une incarnation en femme, et réciproquement.

 

 

Est-ce que l’on choisit aussi la famille et donc le pays dans

lesquels on se réincarne ?

 

En règle générale, oui. Là encore, ce choix est conditionné par les expériences que vous souhaitez connaître pour progresser davantage sur le plan intérieur. Cela étant, le pays de votre naissance n’est pas nécessairement celui où vous devez vivre.

 

 

Se réincarne-t-on indéfiniment, ou y a-t-il une fin à ce

processus ?

 

Chacun se réincarne aussi longtemps qu’il est encore imparfait et qu’il a des erreurs à réparer.

 

 

Et lorsqu’on est devenu parfait ?

 

Votre âme se fond définitivement dans l’Âme universelle, en pleine conscience et en parfaite connaissance de cause. Dés lors, elle n’est plus dans l’obligation de se réincarner et fait partie intégrante de ce que je suis en tant qu’Essence cosmique.

 

 

Conservons-nous la même famille de vie en vie ?

 

Pas nécessairement. Cela dit, plus les liens affectifs sont forts entre les membres d’une même famille, plus leurs âme deviennent sœurs, au point de se réincarner dans le même cercle familial et de poursuivre ensemble leur évolution spirituelle. Généralement, les rôles changent. C’est ainsi que les grands-parents peuvent devenir les enfants, les enfants devenir parents, les parents devenir les frères et sœurs, etc. En fait, toutes les permutations sont possibles.

 

 

                        

 

 

 

 

Suite de ce passionnant sujet

 

Mardi 13 décembre

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
5 décembre 2016 1 05 /12 /décembre /2016 22:37

 

 

 

 

 

Souvenez-vous du sujet sur l’âme :

 

 

 

 

 

 

 

Dialogue imaginaire avec Dieu (suite)   l’âme, Passionnant !

 

 

 

 

 

 

A quel moment pénètre-t-elle dans notre corps ?

 

Au moment de la naissance, lorsque l’enfant inspire pour la première fois. A l’inverse, c’est au moment de la mort, lorsque vous rendez votre dernier souffle, qu’elle quitte définitivement votre corps.

 

 

En quoi l’âme fait-elle de l’homme un être conscient ?

 

Contrairement à ce que pensent la plupart d’entre vous, ce n’est pas le cerveau qui est le siège de la conscience, car celle-ci est un attribut de l’âme. Certes, l’âme utilise le cerveau pour s’exprimer à travers vos facultés sensorielles et mentales, mais elle possède des formes de perception et d’intellection qui transcendent cet organe.

 

 

D’où viennent les âmes ?

 

Toutes proviennent de l’Âme universelle, cette Essence cosmique que j’ai émanée de moi-même au moment où j’ai créé l’univers et dont lui-même est imprégné.  C’est pourquoi, comme je te l’ai déjà dit, elles sont virtuellement pures et parfaites.

 

 

Et les animaux, ont-ils une âme eux aussi ?

 

D’une manière générale, ils évoluent sous l’impulsion d’une âme collective spécifique à chaque espèce. Cela dit, les animaux les plus évolués, notamment ceux qui vivent à vos côtés, en viennent à s’émanciper de leur âme collective et à générer une âme individuelle qui leur confère une forme primitive de conscience de soi. C’est pourquoi ils sont sensibles et intelligents. Ne dites-vous pas, à propos de certains d’entre eux, qu’il ne leur manque que la parole ? Mais ce processus évolutif ne s’arrête pas là…

 

 

C’est-à-dire ?

 

A un moment donné, les plus évolués parmi les plus évolués accèdent au règne humain et connaissent leur première vie dans ce  règne. Commence alors pour eux un nouveau cycle d’évolution.

 

 

A l’inverse, un être humain peut-il se réincarner dans un

animal ?

 

Non. Cela serait contraire à la loi d’évolution et ne servirait à rien.

 

 

Pas même à expier des erreurs ou à réparer le mal commis dans

une vie précédente à l’encontre d’autrui ?

 

 

Non. Tout être humain se réincarne dans le règne humain et assume dans ce règne les conséquences de ce qu’il a fait dans ses vies antérieures, notamment dans la précédente.

 

 

Pour en revenir à la condition humaine, à quoi sert-il de croire

en Ton existence et de s’intéresser à la spiritualité ?

 

 

A rien si cette croyance et cet intérêt ne s’accompagne pas d’un comportement aussi digne que possible sur le plan humain. En cela, le seul fait de croire en mon existence ne rend pas meilleur. C’est ainsi que de nombreux fidèles, toutes religions confondues, se comportent moins bien que des athées, sans parler des fanatiques et des intégristes religieux. De même, la foi, à elle seule, ne suffit pas à être heureux. Dans le cas contraire, tous les croyants le seraient.

 

 

Alors ; qu’est-ce qui peut rendre les hommes heureux ?

 

Comme je te l’ai déjà dit, c’est la connaissance des lois qui régissent l’univers, la nature et l’homme lui-même, ce qui suppose de les étudier et de les respecter. Les ignorer ou les violer ne peut qu’engendrer des épreuves et des souffrances. Que vous en ayez conscience ou non, chacun de vous est en grande partie l’artisan de son bonheur ou de son malheur. Cela étant, et  j’insiste, vous êtes tous destinés à être heureux et non pas malheureux.

 

 

La souffrance n’est donc pas une nécessité pour évoluer ?

 

Non. Il est vrai que la souffrance, qu’elle soit physique ou morale, vous conduit généralement à vous poser des questions sur les raisons de votre état, et à réfléchir sur la condition humaine, ce qui entraîne souvent des prises de conscience utiles. Parfois même, elle conduit un athée à mener une quête spirituelle. Cela dit, elle n’est pas nécessaire pour s’ouvrir à la spiritualité et évoluer intérieurement. L’idéal est même de tout faire  pour ne pas souffrir. Quant à ceux qui croient me plaire en s’infligeant des sévices, ils sont totalement dans l’erreur.

 

 

Comment comprendre que certaines personnes soient plus

éprouvées que d’autres ?

 

 

A juste titre, tous les sages qui on vécu parmi vous ont enseigné, sous une forme ou sous une autre, que chacun récolte tôt ou tard ce qu’il a semé. En application de cette loi spirituelle, appelée « karma » dans les religions et les traditions orientales, ce que vous pensez, dites et faites conditionne votre avenir et vous apporte réussite, joie et bonheur, ou au contraire  échec, peine et malheur.  Cette loi n’est ni punitive, ni répressive ; elle a pour but de vous faire prendre conscience de ce qui est bien et mal dans le comportement humain. Par la même, elle vous incite continuellement à exprimer le meilleur de vous-même, c’est-à-dire à évoluer spirituellement.

 

 

Sommes-nous vraiment responsable de toutes les épreuves

auxquelles nous sommes confrontés ?

 

 

En règle générale, oui. Néanmoins, rappelle-toi ce que je t’ai dit à propos de la fatalité. Il peut arriver également qu’une épreuve résulte d’un Karma, non pas individuel, mais collectif.

 

 

Comment, cela ?

 

En appliquant votre libre arbitre au quotidien, vous vous créez un karma individuel qui peut être positif ou négatif. Mais chaque communauté, chaque nation et même l’humanité se crée un karma collectif qui lui aussi peut être positif ou négatif. Or, celui-ci rejaillit positivement ou négativement sur chacun de vous, sans que sa responsabilité ne soit nécessairement engagée. Pour prendre un exemple, ce que vous appelez le « chômage » s’apparente à un karma collectif négatif qui résulte de mauvais choix économiques. Dés lors, tout individu, aussi courageux et compétent soit-il, peut subir ce karma collectif et ne pas trouver de travail.

 

 

Comment savoir ce qui est bien ou ce qui est mal dans le

comportement humain ?

 

 

 Les notions de bien et de mal font partie intégrante de la conscience humaine. Au plus profond de vous, et même si vous feignez parfois de l’ignorer, vous savez que certains comportements sont positifs et que d’autres sont négatifs. Ainsi, faire preuve de tolérance, de gentillesse, de générosité, de solidarité, de fraternité, d’amour… s’apparente au bien. A l’inverse, calomnier, mentir, manipuler, agresser, tuer, haïr … participe du mal. Tout au long de votre vie, vous devez choisir entre ces deux voies, étant entendu que l’une est un gage d’harmonie et de sérénité, et l’autre de discorde et de tourment. Cela pose tout le problème de votre libre arbitre.

 

 

Rendez-vous le vendredi  9 décembre

 

Ce sera un dialogue sur les « péchés » 

 

 

 

             

 

 

 

Partager cet article
Repost0
28 novembre 2016 1 28 /11 /novembre /2016 22:35

 

 

 

 

 

Je suis à la page  26 du livret

 

de Monsieur Serge Toussaint

 

 

 

 

 

 

 

 Dialogue imaginaire avec Dieu ( suite)

 

 

 

 

 

 

Dans la plupart des Textes sacrés, il est dit que Tu as créé l’homme à Ton image. Si l’on en juge à son comportement, la perfection que les religions T’attribuent laisse à désirer…

 

Je ne suis l’auteur d’aucun Livre dit sacré. Aussi inspirants puissent-ils être pour ceux qui en ont fait le guide de leur foi, ils ont été écrit par des hommes pour des hommes, et ce, dans un contexte historique, géographique et sociologique particulier. Cela étant, il est vrai que vous avez été créés à mon image, en ce sens que vous possédez une âme qui émane de moi et qui fait de chacun de vous un être virtuellement parfait. Le but de votre présence sur Terre et de votre évolution spirituelle est précisément de prendre conscience de cette perfection latente et de l’exprimer à travers vos pensées, vos paroles et vos actions.

 

 

As-tu créé l’homme tel qu’il est ?

 

Non. Il est le résultat d’une évolution millénaire qui a commencé depuis l’instant même où la vie est apparue sur votre planète. Pour t’en convaincre, il te suffit de penser à ce qu’il était aux temps préhistoriques. Sois convaincu qu’il évoluera encore beaucoup au cours des prochains siècles, tant sur le plan physique que mental et spirituel.

A condition naturellement, qu’il ne disparaisse pas sous l’effet de ses propres choix…

 

 

Comment cela ?

 

Vous ne pouvez plus ignorer que l’avenir de l’humanité est menacé. Par négligence, par orgueil et par cupidité, vous avez mis la nature en péril, au point que votre propre survie est devenue incertaine. Si vous persistez dans cette direction, votre espèce disparaîtra à moyen terme, et vous en serez les seules responsables.

 

 

Qu’adviendra-t-il de l’univers ?

 

Comme si l’univers dépendait de l’humanité ! Il devrait vous sembler évident que je ne l’ai pas créé dans le but qu’une seule planète parmi des milliards abrite la vie. Il existe d’autres mondes, et chacun d’eux participe à l’Evolution cosmique, ce processus universel que j’ai mis en œuvre au commencement des temps et que vous appelez « big bang ».

 

 

A quoi ressemblent ces autres mondes ?

 

A ce que votre planète a été, est et sera si elle suit le cours naturel de son évolution. Contrairement à ce que vous pensez, les lois par lesquelles j’opère dans l’univers sont simples et relativement peu nombreuses. Il en est de même de celles qui régissent la vie, de sorte qu’elle se manifeste à travers des archétypes universels. Ainsi, les végétaux, les animaux et les êtres humains qui peuplent les autres mondes ne sont pas fondamentalement différents de ceux qui ont peuplé, peuplent ou peupleront la Terre.

 

 

Les humanités qui vivent sur d’autres planètes sont-elles plus évoluées ou moins évoluées que la nôtre ?

 

Certaines le sont moins, d’autres le sont plus. J’ajouterai que celles qui sont plus évoluées que la vôtre n’ont pas l’intention de vous envahir pour vous anéantir ou vous asservir. Sinon, elles l’auraient fait depuis longtemps. En cela, je regrette la vision que la plupart d’entre vous ont encore de ceux que vous qualifiez d’  « extraterrestres ». Vous avez tort de projeter sur eux vos craintes et vos tendances belliqueuses. Sans les attendre comme on attendrait un messie, vous devriez vous préparer à leur venue, car ils viendront et auront beaucoup à vous apprendre.

 

 

Pourquoi ne sont-ils pas encore venus ?

 

C’est toi qui le dis. Ce qui est certain, c’est que vous n’êtes pas encore prêts à les accueillir comme ils le méritent, c’est-à-dire avec humanité. Et contrairement à vous, ils sont très patients.

 

 

Pourquoi as-Tu  créé l’univers ?

 

Par ce que je me sentais seulet que j’ai désiré partager ce que je suis avec des êtres sensibles. J’ai donc créé l’univers, fait en sorte qu’il devienne le réceptacle de la vie, et doté  toute créature vivante d’une forme de conscience adaptée à son statut. L’humanité dont tu fais partie s’inscrit dans ce processus cosmique et intègre en potentiel la perfection que l’on m’attribue à juste titre. C’est ainsi, comme je te l’ai dit, que vous possédiez une âme qui fait de vous des êtres virtuellement  parfaits. Mon plus cher désir est que chacun de vous en prenne conscience, agisse en conséquence, et connaisse ainsi le bonheur.

 

 

 Suite le vendredi 02 décembre

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
21 novembre 2016 1 21 /11 /novembre /2016 22:24

 

 

 

 

Je vous propose de partager un dialogue imaginaire avec Dieu, ce Dieu qui existe ou n’existe pas, selon les conceptions de chacun.

 

 

Quelle que soit la conclusion à laquelle vous en viendrez après l’avoir lu, je vous souhaite sincèrement de trouver ce à quoi nous aspirons tous : le bonheur.

 

Toujours est-il que je vous propose de « jouer le jeu » et de vous appropriez les questions qui suivent, comme si vous les posiez vous-même à Qui de droit.

 

 

Quant aux réponses, elles n’ont évidemment rien de dogmatique, et pour cause…

 

 

Serge Toussaint.

 

Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix

 

 

 

 

 

Dialogue imaginaire  avec Dieu.

 

 

 

 

 

 

DIALOGUE.

 

 

« Dieu, ceux qui ne croient pas en Toi pensent que si Tu existais, il n’y aurait sur terre, ni souffrance, ni maladie, ni misère.

Qu’en dis-Tu ?

 

Que ce n’est pas moi qui déclare et fais les guerres. Ce sont les hommes eux-mêmes. Ce sont donc eux qui sont responsable des souffrances et des horreurs qui en résultent. Cela me désole au plus au point, car ce sont naturellement la paix et l’harmonie que je vous souhaite.

 

 

Mais c’est Toi qui a créé les hommes…  

 

Pas pour qu’ils s’entretuent. S’ils le font, c’est parce qu’ils utilisent mal leur libre arbitre et qu’ils agissent sous l’impulsion, non pas de leur âme, mais de leur ego, dans ce qu’il a de plus humain. S’ils puisaient leur inspiration dans ce qu’il y a de plus divin en eux, l’idée de se nuire mutuellement ne leur viendrait même pas à l’esprit. Au contraire, ils auraient à cœur de s’aimer et de s’entraider.

 

 

Et pour ce qui est de ces millions d’hommes, de femmes et d’enfants qui meurent de faim à travers le monde .?

 

Dans nombre de cas, les famines sont provoquées par les guerres, et donc, là encore, par les hommes. La surpopulation est également un facteur aggravant dans certains pays ; il faudrait que les peuples concernés fassent preuve de sagesse dans ce domaine, car avoir des enfants n’est pas un but en soi et suppose que l’on puisse répondre à leurs besoins les plus légitimes. Par ailleurs, si vous étiez moins égoïstes les uns vis-à-vis des autres, vous auriez à cœur de partager vos ressources alimentaires avec les plus démunis, et de ne pas les spolier de ce qu’ils possèdent.

 

 

Et les maladies ?

 

 

La plupart sont dues au manque d’hygiène ou au fait que les hommes violent les lois naturelles qui régissent leur corps. Fumer, boire trop d’alcool, manger une nourriture malsaine ou mal équilibrée, ne pas se reposer suffisamment, manquer d’activité physique, entretenir des pensées négatives etc., sont autant de facteurs qui engagent leur responsabilité et qui créent des maladies.

 

 

Mais les hommes ne sont pas responsables des maladies héréditaires ou génétiques, notamment de celles qui frappent des enfants innocents ?

 

Le plus souvent, ils le sont indirectement, car des parents, arrière-grands-parents, arrière-arrière-grands-parents ont eux-mêmes violé les lois naturelles et développé des tares qui se sont transmises à certains de leurs descendants. Cela étant, et contrairement à ce que vous pensez généralement, ce n’est pas vraiment le hasard qui fait que telle personne’ ou tel enfant souffre d’une maladie héréditaire ou génétique. Dans la plupart des cas, leur âme avait choisi cette épreuve avant de se réincarner et savait qu’elle hériterait d’un corps difficile à assumer. Néanmoins, tout doit être fait pour guérir ces maladies et apaiser les souffrances physiques et morales qui les accompagnent.

 

 

Mais pourquoi auraient-ils choisi de s’incarner dans un corps malade ?

 

Pour compenser des erreurs de comportement commises dans leur vie précédente vis-à-vis d’eux-mêmes ou des autres. Ou encore, pour éveiller en eux ou chez autrui des vertus telles que le courage, la patience, la compassion, etc.

 

 

Et ceux qui ne l’ont pas choisi ?

 

En termes humains, on peut dire qu’ils sont victimes de la « fatalité », c’est-à-dire d’une épreuve qui n’engage ni leur choix ni leur responsabilité, mais qui, au-delà des apparences, est utile à leur évolution spirituelle. Certes, cela vous paraît injuste, mais il n’en est rien, car en compensation, ils bénéficient dans la vie suivante de conditions plus heureuses qu’elles auraient dû être.

 

 

A vendredi pour la suite.

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
17 novembre 2016 4 17 /11 /novembre /2016 22:38

 

 

 

 

Texte de Serge Toussaint

 

Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix

 

 

 

 

 

A propos du bon sens

 

 

 

 

 

Depuis quelque temps, on entend souvent dire que «le monde est fou». Cette expression n’est pas nouvelle, mais il faut bien reconnaître qu’elle n’a probablement jamais été autant d’actualité. Tous les domaines de l’activité humaine donnent le sentiment d’être frappés de folie : la politique, avec la généralisation des discours populistes ; l’économie, avec la course outrancière aux profits ; la technologie, avec l’expansion excessive du machinisme et de la robotisation ; la science, avec les manipulations génétiques en tous genres ; la religion, avec la montée en puissance de l’intégrisme ; l’art, avec la multiplication des impostures ; le sport, avec la généralisation du dopage ; etc.

 

 

Le monde médiatique est lui aussi devenu fou : plus ou moins consciemment, il fait la promotion du terrorisme en diffusant en boucle les images de tel ou tel attentat, dresse les gens les uns contre les autres à grand renfort de polémiques, condamne publiquement des individus avant même qu’ils aient été jugés, fait l’apologie de l’impertinence et de la vulgarité, donne la parole à des personnes qui n’ont rien à dire ou qui feraient mieux de se taire, dit et écrit tout et son contraire d’un jour à l’autre, manipule l’opinion au gré des campagnes électorales, etc. Comme on le dit familièrement, la “machine médiatique” s’est emballée il y a quelques décennies et ne cesse depuis d’être en phase d’accélération.

 

 

Pourquoi en sommes-nous arrivés là ? Les raisons sont multiples, mais il en est une qui me semble primer sur les autres : la perte du bon sens. On a le sentiment qu’une forme de folie s’est effectivement emparée de la société, au point qu’elle fait systématiquement le contraire de ce qu’elle devrait faire pour régler les problèmes qui se posent à elle et rompre avec la situation chaotique dans laquelle elle se trouve depuis trop longtemps. Plutôt que d’opter pour le bon sens, elle se fourvoie presque toujours dans le «mauvais sens», c’est-à-dire dans la mauvaise direction, avec tout ce qui en résulte en termes d’impasses, de blocages, de marches-arrière, de “rétropédalages”, etc.

 

 

Qu’est-ce que le bon sens ? D’une manière générale, c’est le sens de ce qui est bon pour l’individu et la société dans son ensemble. C’est donc ce qui va dans le sens des valeurs que chacun devrait respecter au nom de ce que d’aucuns appellent le «Vivre ensemble». Par opposition, le mauvais sens s’apparente à tout ce qui va à l’encontre du bien commun et favorise l’intérêt particulier. Et si c’est ce dernier qui prédomine de nos jours, c’est parce que l’époque actuelle est sous l’emprise des égoïsmes individuels et collectifs. C’est aussi parce qu’elle alimente l’égocentrisme tout en s’en nourrissant.

 

 

Pour remettre le bon sens au goût du jour et donner une bonne orientation à la société, il faudrait privilégier l’intérêt général à l’intérêt particulier, et cesser de promouvoir tout ce qui relève du nationalisme, du communautarisme, du corporatisme et de l’individualisme. Il faudrait également mettre fin aux postures démagogiques et s’évertuer à être beaucoup plus sincère dans les relations avec autrui. Enfin, et peut-être surtout, il faudrait donner à la réflexion et à l’éthique tout leur (bon) sens, ce qui pose notamment le problème de l’instruction et de l’éducation, lesquelles sont depuis trop longtemps en perdition.

 

 

http://www.blog-rose-croix.fr/a-propos-du-bon-sens/

 

 

 

 

 

 

Citation de Confucius sur les humains!

 

 

 

 

 

 

A propos du bon sens

 

 

 

 

 

On demanda un jour à Confucius :

 


Qu'Est-ce qui vous surprend le plus chez les humains ?

 

Confucius répondit :
 

 

Ils perdent leur santé à faire de l'argent
et, par la suite, perdent leur argent à restituer leur santé.

 

En pensant anxieusement au futur,


ils oublient le présent, de sorte qu'ils vivent ni le présent, ni le futur.

 

  





 

 

Partager cet article
Repost0
7 novembre 2016 1 07 /11 /novembre /2016 22:50

 

 

 

 

 

Texte de Serge Toussaint

 

Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix

 

 

 

A propos de l’humour

 

 

 

 

 

On dit que le rire est le propre de l’homme. Ce qui est certain, c’est qu’il est salutaire et qu’il contribue à notre bien-être physique et psychologique. De toute évidence, une personne qui ne rirait jamais tomberait rapidement neurasthénique, ce qui est confirmé par le fait qu’une personne neurasthénique rit très rarement. Rire est donc un besoin vital et une nécessité mentale, à tel point que la plupart des gens cherchent des occasions de le faire, d’où le succès des comédies et des spectacles humoristiques.

 

 

Mais si le rire est une bonne chose, notamment en cette période de crise et de morosité ambiante, la question maintes fois posée de savoir si l’on peut rire de tout demeure. La plupart des comiques et des humoristes interrogés sur cette question répondent que « oui ». Nombre de personnes le pensent également. Cela se comprend d’autant mieux que les uns s’emploient à faire rire et en font commerce, ce qui n’a rien d’immoral, et que les autres veulent rire, sans nécessairement s’imposer de limites.

 

 

Au risque de paraître rabat-joie, je pense que l’on ne doit pas rire de tout, car tout ne peut être tourné en dérision. Mais en admettant que cela soit possible, la manière de le faire est alors très importante. Or, de plus en plus d’humoristes utilisent le cynisme, l’ironie, l’insolence et la vulgarité pour faire rire. Et généralement, ils le font au détriment de telle ou telle personne qu’ils prennent pour cible, ce qui me semble à la fois facile et inconvenant. Naturellement, chacun est libre de pratiquer et d’apprécier ce genre d’humour, mais je pense qu’il ne grandit ni les uns ni les autres.

 

 

Sans doute suis-je quelque peu naïf, mais il me semble que l’humour, pour qu’il soit digne de ce nom, doit être exempt de méchanceté, de raillerie, de dénigrement, de vulgarité, et d’une manière générale de tout ce qui fait appel à des sentiments avilissants. En cela, je pense que l’humour le plus appréciable est celui qui met en évidence la bêtise et la faiblesse humaines en général, ou celui qui divertit d’une manière “bon enfant”, c’est-à-dire qui privilégie le comique de situation, la subtilité des mots, les quiproquos de la vie, etc. Or, cette forme d’humour a quasiment disparu, sans doute parce qu’elle exige un talent qui ne s’improvise pas.

 

 

Quoi qu’il en soit, n’oublions jamais que l’humour le plus salutaire est celui qui consiste à se moquer de soi-même. C’est également un bon moyen de prévenir et de soigner les “crises d’ego”. Malheureusement, se prendre au sérieux est devenu une maladie courante, d’autant que la tendance actuelle est au “nombrilisme” et au culte de la personnalité. À son époque déjà, Victor Hugo, s’appuyant sur une phrase biblique, déclara dans Hernani : « Pour un titre, ils vendraient leur âme. Vanité ! Vanité ! Tout n’est que vanité ! »

 

http://www.blog-rose-croix.fr/a-propos-de-l-humour/

 

 

 

A propos de l’humour

 

 

 

 

 

« Qu'il soit bleu, gris ou orangé le ciel est toujours là,

au-dessus de nos têtes.

 

Reflet de nos humeurs, on y cherche l'inspiration, on l’interroge, on l’admire. »

 

 

Site Evene

Partager cet article
Repost0
31 octobre 2016 1 31 /10 /octobre /2016 22:42

 

 

Texte de Serge Toussaint

 

Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix

 

 

 

 

 

A propos de la fin de vie  + vidéo ; "SOS D'UN TERRIEN EN DETRESSE"

 

 

 

 

 

Comme beaucoup d’entre vous, j’ai connu des personnes en fin de vie, certaines parmi mes proches, auxquelles je suis allé rendre visite alors qu’elles se trouvaient à l’hôpital ou à la clinique. Trop souvent, j’ai malheureusement constaté qu’elles manquaient d’attention de la part d’un personnel peut-être trop peu nombreux et trop affairé, mais parfois aussi occupé à discuter dans un coin de choses bien éloignées de son travail. En ces circonstances, j’ai eu le sentiment que ces personnes étaient davantage considérées comme des clients occupant une chambre et un lit, que comme des êtres humains vivant leurs derniers jours, voire leurs dernières heures.

 

 

Mon intention n’est en aucun cas de polémiquer et de généraliser, d’autant que j’éprouve une grande admiration à l’égard des infirmiers, infirmières et autres personnes impliquées dans les soins donnés aux malades. Dans la majorité des cas, leur dévouement est remarquable et traduit un profond humanisme. Cela étant, dans ce corps de métier comme dans bien d’autres, il y a des individus plus ou moins consciencieux et plus ou moins compétents. On y décèle aussi de plus en plus un souci de rentabilité et de profits. Et lorsque cela concerne des malades en fin de vie, les conséquences pour elles sont dramatiques.

 

 

C’est ainsi que dans un hôpital que je ne nommerai pas, une personne vivant ses derniers jours, très conciliante et peu exigeante, a servi de « cobaye » à des traitements médicaux qui se sont avérés aussi dégradants qu’inefficaces, sans parler des multiples piqûres faites dans des bras meurtris par de jeunes infirmières qui faisaient là leur apprentissage. Et lorsque, plus tard, la douleur l’amena à demander de l’assistance, elle dut attendre plus d’une heure. Ayant été témoin de cette situation, je n’ai pu m’empêcher de penser que ce cas n’était probablement pas unique. En fait, il est assez fréquent. Est-ce normal ?

 

 

Dans une société digne de ce nom, tout devrait être fait pour rendre la maladie et la fin de vie aussi acceptables et paisibles que possible pour les personnes concernées. Cela suppose que le personnel soit compétent et disponible, et par conséquent bien formé et en nombre suffisant. Quand je dis «bien formé», ce n’est pas uniquement sur le plan médical ; c’est aussi sur le plan psychologique. En effet, j’ai eu l’occasion de voir des infirmiers et des infirmières qui, de toute évidence, manquaient de psychologie à l’égard des patients, au point de les déstabiliser et de les angoisser davantage encore. Comment ne pas le déplorer ?

 

 

Autre point : Je ne comprends pas qu’en ce début de XXIe siècle, il y ait encore tant d’hôpitaux, d’hospices, de maisons de retraite, etc., aussi vétustes, lugubres et mal équipés. On dira que c’est une question de moyens financiers. Certes, mais alors pourquoi investir tant d’argent dans l’armement, sans compter les fonds qui sont gaspillés chaque jour dans des réalisations privées et publiques non indispensables, sinon inutiles. Là aussi, tout devrait être fait pour que les personnes malades ou en fin de vie bénéficient d’un environnement, d’un cadre et d’un confort matériels qui les aident à guérir ou à quitter ce monde dans les meilleures conditions. C’est là une question d’humanité.

 

 

http://www.blog-rose-croix.fr/a-propos-de-la-fin-de-vie/

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
20 octobre 2016 4 20 /10 /octobre /2016 21:52

 

 

Texte de :

 

Serge Toussaint

 

Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix

 

 

 

 

 

À propos des centrales nucléaires

 

 

 

 

Les premières centrales nucléaires ont été construites dans les années 50 sans que l’opinion publique en soit vraiment informée. Au fur et à mesure que les gens ont pris connaissance de leur existence, la grande majorité, par insouciance ou par ignorance de ce qu’il en est, ne se sont pas questionnés sur la question du nucléaire et ont fait confiance aux “autorités”. Exception faite d’une minorité d’écologistes précurseurs, ce n’est qu’après la catastrophe survenue à Tchernobyl en 1986 que nombre de personnes ont commencé à s’interroger sur le danger que représente cette forme d’énergie. Avec celle de Fukushima en 2011, cette interrogation s’est transformée en une certitude pour la plupart : les centrales nucléaires sont dangereuses.

 

 

 

Face à l’ampleur de la catastrophe survenue au Japon et à l’émoi qu’elle a suscité dans l’opinion publique, les dirigeants politiques des pays impliqués dans l’énergie nucléaire se sont employés à rassurer les peuples, non sans leur promettre que les centrales en activité seraient contrôlées et sécurisées. Comme on pouvait s’en douter, et malgré l’évidence, les responsables de cette filière ont minimisé autant que possible les risques, et n’ont eu de cesse de réaffirmer qu’ils contrôlaient cette énergie et que les accidents survenus étaient dus à des causes exceptionnelles qui ne se reproduiraient (probablement) plus…

 

 

 

En réalité, personne ne contrôle et encore moins ne maîtrise l’énergie nucléaire et les centrales qui la produisent. Prétendre cela est à la fois mensonger et irresponsable. Que dire également des déchets radioactifs qu’elles génèrent en quantité et que l’on dissimule ici et là en sachant que leur nocivité durera des siècles. Mais tandis que l’on en est venu à appliquer le principe de précaution en maints domaines, parfois avec un zèle qui confine à l’absurde, on continue à privilégier le nucléaire dans nombre de pays pour des raisons économiques, politiques et corporatistes. En l’état actuel des choses, il faudra malheureusement une troisième catastrophe majeure pour que l’évidence s’impose à nouveau : le nucléaire est dangereux et n’est pas l’énergie de l’avenir. Parfois, je me demande si les inconditionnels de cette énergie ont des enfants et des petits enfants…

 

 

 

Il me semble évident que la sagesse voudrait que l’on sorte progressivement mais aussi rapidement que possible du nucléaire, sans pour autant revenir au charbon, solution de facilité très polluante que certains pays remettent malheureusement au “goût du jour”. Cela suppose de privilégier les recherches portant sur les énergies renouvelables (éolienne, géothermique, hydrolienne, houlomotrice, etc.), sans oublier le solaire qui, de mon point de vue, est l’énergie du futur. Cela implique également que chaque citoyen accepte de diminuer sa consommation d’énergie et que l’on en finisse avec le gaspillage sans mesure qui prévaut dans tous les pays développés. Dans ce domaine, les gouvernés ont autant de responsabilité que les gouvernants. Il s’agit là d’une question de citoyenneté d’autant plus importante qu’elle engage les générations futures et le devenir de notre planète…

 

 

 

 

http://www.blog-rose-croix.fr/20111021a-propos-des-centrales-nucleaires/

 

 

 

 

À propos des centrales nucléaires

 

 

 

La colère est un sentiment que chacun traverse, quels que soient l’âge et le tempérament.

 

 

 Elle se manifeste de façon souvent passagère et laisse derrière elle un sentiment de regret, d’inutilité ou d’impuissance.

 

 

 

Aurore Aimelet

Partager cet article
Repost0
26 septembre 2016 1 26 /09 /septembre /2016 21:48

 

 

 

 

Texte de Serge Toussaint

 

Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix

 

 

 

 

 

A propos du temps + diaporama « Le temps »

 

 

 

 

 

Indépendamment des définitions que l’on peut donner au temps, chacun s’accorde à dire qu’il conditionne la vie des êtres humains. Dans son expression naturelle, il est rythmé par l’alternance du jour et de la nuit, le cycle lunaire et la succession des saisons. Que nous le voulions ou non, nous sommes soumis à ces rythmes, tout comme la nature dans son ensemble, avec ses règnes minéral, végétal et animal. En un mot, le temps est une dimension “matérielle“ à laquelle nous ne pouvons pas nous soustraire en tant qu’êtres vivants.

 

Soucieux de maîtriser le temps pour mieux gérer son existence, l’homme s’est employé à le fractionner artificiellement, ce qui a donné naissance au cours des siècles à divers systèmes de mesure. Comme vous le savez, nous utilisons désormais le millénaire, le siècle, la décennie, l’année, le jour, l’heure, la minute, la seconde, et même le dixième, le centième et le millième de seconde. Mais s’il était naturel et prévisible que l’homme en vienne à mesurer le temps avec de plus en plus de précision, il est regrettable qu’il en soit devenu à ce point l’esclave. Pour s’en convaincre, il suffit de songer au rythme effréné auquel vivent la plupart des gens, avec tout ce qui en résulte en termes de stress et de maladies “nerveuses“.

 

Vous avez certainement remarqué qu’au fur et à mesure que l’homme a fractionné le temps, il a accéléré le rythme de la vie en société. De nos jours, toute activité est minutée et s’inscrit dans un programme ou une “plage horaire“ déterminée. Sur le plan économique, le temps est plus que jamais de l’argent, ce qui explique l’obsession à vouloir produire toujours plus en moins de temps. De leur côté, les médias se livrent à une compétition pour “couvrir en direct“ les événements qu’ils jugent d’actualité. Mieux (ou pire) encore, ils s’emploient à les anticiper, à les devancer, au point de spéculer sur l’avenir. Quant à la plupart des gens, ils sont de plus en plus pressés et se plaignent volontiers de « ne pas avoir le temps de tout faire ».

 

La question qui se pose est naturellement de savoir si cette accélération des choses rend les êtres humains plus heureux. De toute évidence, la réponse est « non ». Pourquoi ? Parce qu’ils s’affairent à rentabiliser leur temps de vie, au détriment de sa qualité. Ceci est tellement vrai que paradoxalement, nombre de personnes ne supportent plus l’idée de ne rien avoir à faire, ne serait-ce qu’une heure. Est-ce la perspective de ne pas utiliser cette heure pour “consommer“ une activité quelconque ? Est-ce la crainte de se retrouver seules face à elles-mêmes ? Toujours est-il que la course menée actuellement contre le temps nous éloigne de plus en plus de nous-mêmes, des autres, de la nature, et du sens profond de la vie.

 

D’un point de vue strictement philosophique, le temps n’est pas une réalité matérielle, mais un état de conscience. C’est ce qui explique pourquoi, lorsque nous dormons ou sommes dans un état inconscient, nous perdons la notion des heures, des jours et même des mois, comme c’est malheureusement le cas des personnes plongées dans le coma. Dans l’absolu, cela suppose que le meilleur moyen de maîtriser le temps et de s’en faire un allié dans la vie est de remplacer l’usage matérialiste que nous en faisons par une approche plus spiritualiste de ce qu’il est en essence…

 

 

 

 

http://www.blog-rose-croix.fr/20110114a-propos-du-temps/

 

 

 

 

 

 

 

Première image du très beau diaporama où vous pourrez  lire de très belles citations sur le temps.

Première image du très beau diaporama où vous pourrez lire de très belles citations sur le temps.

Un clic sur le lien ci-dessus Pour "entrer" dans le diapo, bon visionnement à chacun de vous.

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : cheminphilosophique
  • : Je suis passionnée de philosophie, je partage avec vous ces textes et citations qui font partie de moi.
  • Contact

Bienvenue sur mon blog!

Entrer chez moi, c'est découvrir mes idéaux, mes créations personnelles et d'autres thèmes qui me passionnent.
 

Bonne visite !

 

 

Ce blog a été créé le 22-08-2010 par mon adorable petit-fils Maxime


 

1 NOUVELLE SEPARATION

 

***

hobbies

 

  compteur pour blog